La Fille De La Rivière
Au bord d'une rivière
Au cœur d'une chaumière
Vivait une fille
Une reine en guenille
Les gens la croyait folle
Quand elle disait: Je vole
Moi, je la croyais
Les gens n'avaient plus de mot
Quand elle marchait sur l'eau
Moi, je la suivais
Je la suivais le long, le long de sa légende
Ses cheveux blonds si longs comme une houppelande
Elle marchait pieds nus, irréelle et légère
Moi, je suivais comme je pouvais, oui, mais que faire?
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais elle avait l'âme si fière
Jamais elle ne se retournait
Au bord de la rivière
J'attendais solitaire
Qu'un frisson de l'onde
Me rende ma Joconde
Les bras chargés de perles d'eau
Bercée parmi le chant d'oiseau
Elle souriait
Elle me faisait l'offrande
D'un collier de lavande
Puis, elle s'en allait
Au bord de la rivière
D'une lointaine terre
Un étranger sans vin
Qui mourrait de faim
Elle le nourrit d'amandes
De miel et de mangues
Elle lui dit viens
C'est toi que j'attendais
Elle mit sa robe blanche
Pour son premier dimanche
Et au matin, ils s'épousaient
Et ils marchaient le long, le long de la légende
Ils étaient beaux si beaux qu'enfin je me demande
De quel soleil venait cette étrange lumière
Quand ils marchaient comme des dieux sur la rivière
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais je savais qu'à la rivière
Jamais je ne la reverrais
Au cœur d'une chaumière
Vivait une fille
Une reine en guenille
Les gens la croyait folle
Quand elle disait: Je vole
Moi, je la croyais
Les gens n'avaient plus de mot
Quand elle marchait sur l'eau
Moi, je la suivais
Je la suivais le long, le long de sa légende
Ses cheveux blonds si longs comme une houppelande
Elle marchait pieds nus, irréelle et légère
Moi, je suivais comme je pouvais, oui, mais que faire?
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais elle avait l'âme si fière
Jamais elle ne se retournait
Au bord de la rivière
J'attendais solitaire
Qu'un frisson de l'onde
Me rende ma Joconde
Les bras chargés de perles d'eau
Bercée parmi le chant d'oiseau
Elle souriait
Elle me faisait l'offrande
D'un collier de lavande
Puis, elle s'en allait
Au bord de la rivière
D'une lointaine terre
Un étranger sans vin
Qui mourrait de faim
Elle le nourrit d'amandes
De miel et de mangues
Elle lui dit viens
C'est toi que j'attendais
Elle mit sa robe blanche
Pour son premier dimanche
Et au matin, ils s'épousaient
Et ils marchaient le long, le long de la légende
Ils étaient beaux si beaux qu'enfin je me demande
De quel soleil venait cette étrange lumière
Quand ils marchaient comme des dieux sur la rivière
Et je tombais de pierre en pierre
Je l'appelais, je la perdais
Mais je savais qu'à la rivière
Jamais je ne la reverrais
Credits
Writer(s): Salvatore Adamo
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.