Valet
Je t'ai aimée, t'étais
Dans cette tristesse sans saveur
Une épice
Qui nous laisse un arrière-goût de bonheur
Je t'ai aimée, t'étais
Aussi vraie que leurs horreurs
Qui se déposent sur nos cœurs
Comme une rosée de noirceur
Et la vie était toujours loin devant nous
On savait qu'on la rattraperait pas en restant à genoux
Mais on priait, niait, lançait des promesses en l'air
Faque la seule chose qui nous est
Retombée dessus c'est nos crachats pis le tonnerre
J'ai les os crispés
Les mots grippés
Tu disais: faut s'agripper
Mais difficile de repasser un sourire trop fripé
On s'est séparés le front ridé de soucis
En sachant que les maux du corps reflètent souvent le mal de l'esprit
De ton teint cassé, tu m'as souri et dit:
La liberté c'est de danser avec des chaînes, chéri,
On a assez payé pour ce qui n'a pas de prix
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
J'ai aiguisé ma mine triste
Gommé mon sourire niais
Hors de la machine; Matrice
Monde divisé, on y est
Mais comment faire pour accepter la fin?
Alors que les héros deviennent des héros dans les films américains
Y parait que le plus beau succès c'est celui pas calculé
Mais j'ai appris à calculer avant de comprendre mes émotions
Faque, au pied de mes contradictions, je me sens acculé
L'âme maculée
Incapable de prendre une décision
C'est comme si j'étais prisonnier dans une tristesse figée
Face à leur système érigé sur des richesses pillées
Tu m'as laissé avec l'amère caresse de la lucidité
Maintenant que tu m'as ouvert les yeux
Je veux juste me les arracher
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
Je t'ai aimée, t'étais
Comme ces comprimés de douceur
Qui t'engourdissent
Et te laissent un arrière-goût de bonheur
Je t'ai aimée t'étais
Tellement vraie, tellement sincère
Dans cet océan de gens
Qui se noient de l'intérieur
Les gens ont pu de valeur
La vie perd de la valeur
Quand l'argent laisse dans l'air la sensation
Que la compassion est en récession
Les gens ont pu de valeur
La vie perd de la valeur
Sans ton amour
Ce monde me pend par le cœur
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
Je t'ai aimée, t'étais...
Dans cette tristesse sans saveur
Une épice
Qui nous laisse un arrière-goût de bonheur
Je t'ai aimée, t'étais
Aussi vraie que leurs horreurs
Qui se déposent sur nos cœurs
Comme une rosée de noirceur
Et la vie était toujours loin devant nous
On savait qu'on la rattraperait pas en restant à genoux
Mais on priait, niait, lançait des promesses en l'air
Faque la seule chose qui nous est
Retombée dessus c'est nos crachats pis le tonnerre
J'ai les os crispés
Les mots grippés
Tu disais: faut s'agripper
Mais difficile de repasser un sourire trop fripé
On s'est séparés le front ridé de soucis
En sachant que les maux du corps reflètent souvent le mal de l'esprit
De ton teint cassé, tu m'as souri et dit:
La liberté c'est de danser avec des chaînes, chéri,
On a assez payé pour ce qui n'a pas de prix
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
J'ai aiguisé ma mine triste
Gommé mon sourire niais
Hors de la machine; Matrice
Monde divisé, on y est
Mais comment faire pour accepter la fin?
Alors que les héros deviennent des héros dans les films américains
Y parait que le plus beau succès c'est celui pas calculé
Mais j'ai appris à calculer avant de comprendre mes émotions
Faque, au pied de mes contradictions, je me sens acculé
L'âme maculée
Incapable de prendre une décision
C'est comme si j'étais prisonnier dans une tristesse figée
Face à leur système érigé sur des richesses pillées
Tu m'as laissé avec l'amère caresse de la lucidité
Maintenant que tu m'as ouvert les yeux
Je veux juste me les arracher
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
Je t'ai aimée, t'étais
Comme ces comprimés de douceur
Qui t'engourdissent
Et te laissent un arrière-goût de bonheur
Je t'ai aimée t'étais
Tellement vraie, tellement sincère
Dans cet océan de gens
Qui se noient de l'intérieur
Les gens ont pu de valeur
La vie perd de la valeur
Quand l'argent laisse dans l'air la sensation
Que la compassion est en récession
Les gens ont pu de valeur
La vie perd de la valeur
Sans ton amour
Ce monde me pend par le cœur
Je serai pas le valet dans leur grand royaume
Je préfère être roi dans mon petit monde
Même à l'étroit dans mon petit monde
Je t'ai aimée, t'étais...
Credits
Writer(s): Felix Antoine Leroux, Benjamin Piette
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