Le périph
Je roule tout droit sur le périph' depuis des heures
J'ai mis pleins phares pour qu'en face, ils voient pas que je pleure
Sur le pare-brise, la crasse vient à bout de mes essuie-glaces
Portes et fenêtres condamnées, accélérateur bloqué
Je regarde ma vie défiler
Mille lumières, autant d'enfers
Qui se croisent, se toisent et même s'entrecroisent
Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Mais il n'est pas de marche arrière
Encore moins d'sur le boulevard circulaire
Tête-à-queue sans queue ni tête
Où les radars immortalisent mon cafard
La grande spirale du râle m'engloutit
Je navigue aveugle sous la pluie
Ondulant les vagues filantes
Encornées de brumes déchirées d'étoiles filantes
Entre les gros tonnages qui font barrage
Les marées noires qui croient m'avoir
Je joue des coudes et roule à plein pot
C'est pas ce soir qu'ils auront ma peau
Je roule tout droit sur le périph' depuis des heures
Neuf-cents à l'heure, je me sens bien
Je n'ai pas peur, je roule vers mon destin
Les gyrophares nécrophages arriveront
Toujours trop tard pour ramasser mes dérapages
Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Yeah, et je sais qu'un jour viendra
S'arrêtera
J'ai mis pleins phares pour qu'en face, ils voient pas que je pleure
Sur le pare-brise, la crasse vient à bout de mes essuie-glaces
Portes et fenêtres condamnées, accélérateur bloqué
Je regarde ma vie défiler
Mille lumières, autant d'enfers
Qui se croisent, se toisent et même s'entrecroisent
Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Mais il n'est pas de marche arrière
Encore moins d'sur le boulevard circulaire
Tête-à-queue sans queue ni tête
Où les radars immortalisent mon cafard
La grande spirale du râle m'engloutit
Je navigue aveugle sous la pluie
Ondulant les vagues filantes
Encornées de brumes déchirées d'étoiles filantes
Entre les gros tonnages qui font barrage
Les marées noires qui croient m'avoir
Je joue des coudes et roule à plein pot
C'est pas ce soir qu'ils auront ma peau
Je roule tout droit sur le périph' depuis des heures
Neuf-cents à l'heure, je me sens bien
Je n'ai pas peur, je roule vers mon destin
Les gyrophares nécrophages arriveront
Toujours trop tard pour ramasser mes dérapages
Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
Yeah, et je sais qu'un jour viendra
S'arrêtera
Credits
Writer(s): Jean Louis Solans, Emmanuel Cabut
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.