100 mètres haies
J'fais le 100 mètres haies
Dans Los Angeles
J'vois ton reflet dans la vitre
De l'espace pour écrire
C'est large comme le ciel
J'me réentends te dire
Que j'connais pas la suite
C'est étrange à quel point
Il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir ce que j'ai laissé derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l'autre se croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
J'fais le 1 000 mètres haies
Par-dessus les voitures
Sans remarquer les klaxons
Même le signal pour piéton
A pitié d'mon allure
Qu'est-c'qui m'a pris d'croire que j'partais pour de bon
C'est étrange à quel point
Il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir c'que j'ai laissé derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l'autre se croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Je fais le 100 kilomètres haies à la vitesse du son
Par-dessus les boulevards, les bars et les moments d'absence
Ça vient d'qui l'idée d's'éloigner pour mieux voir v'nir le fond
Encore le fucking va-et-vient des amours à distance
Mes larmes se mélangent à l'eau salée sur mes lèvres
Au rythme des vieux hippies les deux pieds dans l'océan
Je fixe le soleil embrouillé qui s'lève
J'm'imaginais pas que tu me manqu'rais autant
Pourquoi il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir ce que j'ai laissé derrière
Et je me croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Dans Los Angeles
J'vois ton reflet dans la vitre
De l'espace pour écrire
C'est large comme le ciel
J'me réentends te dire
Que j'connais pas la suite
C'est étrange à quel point
Il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir ce que j'ai laissé derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l'autre se croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
J'fais le 1 000 mètres haies
Par-dessus les voitures
Sans remarquer les klaxons
Même le signal pour piéton
A pitié d'mon allure
Qu'est-c'qui m'a pris d'croire que j'partais pour de bon
C'est étrange à quel point
Il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir c'que j'ai laissé derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l'autre se croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Je fais le 100 kilomètres haies à la vitesse du son
Par-dessus les boulevards, les bars et les moments d'absence
Ça vient d'qui l'idée d's'éloigner pour mieux voir v'nir le fond
Encore le fucking va-et-vient des amours à distance
Mes larmes se mélangent à l'eau salée sur mes lèvres
Au rythme des vieux hippies les deux pieds dans l'océan
Je fixe le soleil embrouillé qui s'lève
J'm'imaginais pas que tu me manqu'rais autant
Pourquoi il faut toujours que j'me rende aussi loin
Pour voir ce que j'ai laissé derrière
Et je me croise les doigts, moi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Mon rêve américain
C'est celui qui m'ramène à toi
Credits
Writer(s): Daniel Beaumont, Louis Jean Cormier, Alan Cote
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.