Mine de rien
Mine de rien
Le temps aura passé
Sans qu'on s'en rende compte
Et il aura gagné
Je sais bien
Qu'à chaque jour suffit sa peine
Mais j'ai peur quand même
Et je suis fatiguée
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
J'angoisse encore
Mine de rien
Je ne sais plus qui j'étais
Quand je t'ai rencontré
Il y a quelques années
Trop souvent
J'ai fait semblant d'être bien
Comme si de rien était
Si tu savais seulement
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
J'angoisse encore
Tu te frayes un passage
Dans mes matins tranquilles
Au traves de nos propres ruines
Tu es si près de moi
Mais si loin à la fois
Que j'en deviens fragile
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
Le temps aura passé
Sans qu'on s'en rende compte
Et il aura gagné
Je sais bien
Qu'à chaque jour suffit sa peine
Mais j'ai peur quand même
Et je suis fatiguée
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
J'angoisse encore
Mine de rien
Je ne sais plus qui j'étais
Quand je t'ai rencontré
Il y a quelques années
Trop souvent
J'ai fait semblant d'être bien
Comme si de rien était
Si tu savais seulement
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
J'angoisse encore
Tu te frayes un passage
Dans mes matins tranquilles
Au traves de nos propres ruines
Tu es si près de moi
Mais si loin à la fois
Que j'en deviens fragile
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
On était jeunes, naïfs, épais
Inconscients des jours qu'on avait
Quand j'y repense, c'est fou
L'énergie qu'on avait avant
À la surprise générale
Un épuisement monumental
Au petit matin quand tu dors
Et que j'angoisse encore
Credits
Writer(s): Ariane Castonguay
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