Si je savais parler aux femmes
Si je savais parler aux femmes
Je lui parlerais si doux
La bouche à peine ouverte
Ma main sur ses genoux
Si je savais parler aux femmes
Je lui parlerais si bas
Qu'elle devrait pour m'entendre
Se pencher un peu vers moi
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon front trop mouillé lui tremperait la joue
Nos cheveux mêlés, nos mains moites et nues
Et de bouche-à-bouche
M'aimes-tu? (m'aimes-tu?)
M'aimes-tu?
M'aimes-tu? (m'aimes-tu?)
Si je savais parler aux femmes
Je lui parlerais tout près
Comme un pendant d'oreille
Pareil à un secret
Si je savais parler aux femmes
Je ne dirais presque rien
Je parlerais comme à l'église
Avec les yeux et les mains
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon bras replié lui courberait les reins
Les yeux en baldaquin, le cœur au grand galop
Et de bouche-à-bouche
(Si je savais)
Parler aux femmes
Si je savais parler aux femmes
Je saurais les garder aussi
Je sais bien que la mienne
Ne serait jamais partie
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon front trop mouillé lui tremperait la joue
Nos cheveux mêlés, nos mains moites et nues
Et de bouche, de bouche-à-bouche
Oui, je t'aime
Oui, je t'aime
Elle ne serait jamais partie
Si je savais parler aux femmes (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie
Si je savais
Je t'aime (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie
Si je savais parler aux femmes (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie...
Je lui parlerais si doux
La bouche à peine ouverte
Ma main sur ses genoux
Si je savais parler aux femmes
Je lui parlerais si bas
Qu'elle devrait pour m'entendre
Se pencher un peu vers moi
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon front trop mouillé lui tremperait la joue
Nos cheveux mêlés, nos mains moites et nues
Et de bouche-à-bouche
M'aimes-tu? (m'aimes-tu?)
M'aimes-tu?
M'aimes-tu? (m'aimes-tu?)
Si je savais parler aux femmes
Je lui parlerais tout près
Comme un pendant d'oreille
Pareil à un secret
Si je savais parler aux femmes
Je ne dirais presque rien
Je parlerais comme à l'église
Avec les yeux et les mains
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon bras replié lui courberait les reins
Les yeux en baldaquin, le cœur au grand galop
Et de bouche-à-bouche
(Si je savais)
Parler aux femmes
Si je savais parler aux femmes
Je saurais les garder aussi
Je sais bien que la mienne
Ne serait jamais partie
Et mon souffle très chaud lui chaufferait le cou
Mon front trop mouillé lui tremperait la joue
Nos cheveux mêlés, nos mains moites et nues
Et de bouche, de bouche-à-bouche
Oui, je t'aime
Oui, je t'aime
Elle ne serait jamais partie
Si je savais parler aux femmes (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie
Si je savais
Je t'aime (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie
Si je savais parler aux femmes (aux femmes)
Elle ne serait jamais partie...
Credits
Writer(s): Jean-pierre Ferland
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