Zippo
C'est Dabrowski, 19 piges, déjà un tas d'soucis,
La frénésie m'poussera le jour où j'sentirais l'roussi,
Dans l'pe-ra, j'm'efforce d'être poussif,
J'parle de déglinguer des pussy,
Mais en vrai j'aurais besoin d'un coup d'pouce avant qu'j'me bousille,
Ils attendent de trouver l'angle d'attaque pour te mettre à mal,
J'ai confiance qu'en mon métronome, mon superdry, mon big zamal,
J'garde un mauvais souvenir d'-l'addictologue, ses examens,
il vient en blouse pour un problème de beuh, mais t'charge au Lexomil,
Et ma mère prend ces merdes tous les jours,
donc j'parle à l'inquiétude,
Qui m'dit d'aller plus bédave, un peu moins penser aux études,
Moi j'ai trouvé l'échappatoire, mon poto j'vais pas t'mentir,
Ça fait du bien d'se faire sucer, en fait encore plus d'écrire,
On veut des étoiles dans les yeux, éviter tous les nuages,
Mais la fumée fait un écran, c'est malheureux vu mon âge,
Entre elle et moi l'courant passait, j'ai pas supporté l'voltage,
J'voudrais devenir célèbre avec la bête de plume de voltaire,
Mes camarades de classe, ils n'y voient rien,
c'est mieux comme ça, ou bien,
Font les aveugles, c'est plus concis, j'reviens,
Jamais à la bonne heure en cours t'façon j'-m'en bats les reins,
En 6eme j'me faisais balayer, aujourd'hui j'les fais parler bien,
Putain j'suis plus l'même, c'est la merde mais bon,
J'avoue qu'-j'ai grandi un peu, d'la lave a coulé sous les ponts,
Avec ou sans aide c'est la même,
mes fonds, disparaissent à mesure que j'commence a manquer d'niakson,
On a changé depuis l'bac à sable,
Chaque fois qu'-j'écris, j'prends la bac pour cible,
J'trouve que la vie à un goût passable,
Une garette au passage, m'incliner impossible,
J'étais c'gamin tout sage qui sortait tard en ville,
En fin d'soirée l'gage c'est trois bouteilles à rendre vides,
J'crois qu'-c'est l'heure d'rentrer j'ai pas envie,
Quand j'suis tout seul ma tête part en vrille,
Quand j'y pense j'suis amoureux, heureusement que je l'ai elle,
Aime, n'aie pas la haine, op, le cul m'donne des ailes,
Y'a R qui m'donne envie d'rester, on ira sur une île,
UV, Bronzage, restaurant, baise comme dans un film,
Elle sait qu'je kiffe quand elle m'regarde, elle voit plus W,
C'est pour les nés sous X, les anciens taulards, et les défoncés,
Y'a que quand j'suis en Y qu'il y a des Z au dessus de ma tête,
Oui j'bédave tous les soirs, j'te l'dis,
comme ça tu comprendrais pas l'texte sinon,
19 ans d'existence frérot j'trouve que c'est déjà long,
Pour la suite du parcours, devant moi j'y vois pas de jalons,
Personne nous a laissé de traces, de marques, de passages,
On a que des stigmates, des cicatrices, de quand on était pas sages,
On s'est tous rangés plus ou moins, même si ça vend du shit,
On a pas d'argent d'poche et par fierté nos mères on sollicite pas,
Le jour où tu devras t'relever du sol hésite pas,
Une étincelle suffirait pour enflammer l'zippo
La frénésie m'poussera le jour où j'sentirais l'roussi,
Dans l'pe-ra, j'm'efforce d'être poussif,
J'parle de déglinguer des pussy,
Mais en vrai j'aurais besoin d'un coup d'pouce avant qu'j'me bousille,
Ils attendent de trouver l'angle d'attaque pour te mettre à mal,
J'ai confiance qu'en mon métronome, mon superdry, mon big zamal,
J'garde un mauvais souvenir d'-l'addictologue, ses examens,
il vient en blouse pour un problème de beuh, mais t'charge au Lexomil,
Et ma mère prend ces merdes tous les jours,
donc j'parle à l'inquiétude,
Qui m'dit d'aller plus bédave, un peu moins penser aux études,
Moi j'ai trouvé l'échappatoire, mon poto j'vais pas t'mentir,
Ça fait du bien d'se faire sucer, en fait encore plus d'écrire,
On veut des étoiles dans les yeux, éviter tous les nuages,
Mais la fumée fait un écran, c'est malheureux vu mon âge,
Entre elle et moi l'courant passait, j'ai pas supporté l'voltage,
J'voudrais devenir célèbre avec la bête de plume de voltaire,
Mes camarades de classe, ils n'y voient rien,
c'est mieux comme ça, ou bien,
Font les aveugles, c'est plus concis, j'reviens,
Jamais à la bonne heure en cours t'façon j'-m'en bats les reins,
En 6eme j'me faisais balayer, aujourd'hui j'les fais parler bien,
Putain j'suis plus l'même, c'est la merde mais bon,
J'avoue qu'-j'ai grandi un peu, d'la lave a coulé sous les ponts,
Avec ou sans aide c'est la même,
mes fonds, disparaissent à mesure que j'commence a manquer d'niakson,
On a changé depuis l'bac à sable,
Chaque fois qu'-j'écris, j'prends la bac pour cible,
J'trouve que la vie à un goût passable,
Une garette au passage, m'incliner impossible,
J'étais c'gamin tout sage qui sortait tard en ville,
En fin d'soirée l'gage c'est trois bouteilles à rendre vides,
J'crois qu'-c'est l'heure d'rentrer j'ai pas envie,
Quand j'suis tout seul ma tête part en vrille,
Quand j'y pense j'suis amoureux, heureusement que je l'ai elle,
Aime, n'aie pas la haine, op, le cul m'donne des ailes,
Y'a R qui m'donne envie d'rester, on ira sur une île,
UV, Bronzage, restaurant, baise comme dans un film,
Elle sait qu'je kiffe quand elle m'regarde, elle voit plus W,
C'est pour les nés sous X, les anciens taulards, et les défoncés,
Y'a que quand j'suis en Y qu'il y a des Z au dessus de ma tête,
Oui j'bédave tous les soirs, j'te l'dis,
comme ça tu comprendrais pas l'texte sinon,
19 ans d'existence frérot j'trouve que c'est déjà long,
Pour la suite du parcours, devant moi j'y vois pas de jalons,
Personne nous a laissé de traces, de marques, de passages,
On a que des stigmates, des cicatrices, de quand on était pas sages,
On s'est tous rangés plus ou moins, même si ça vend du shit,
On a pas d'argent d'poche et par fierté nos mères on sollicite pas,
Le jour où tu devras t'relever du sol hésite pas,
Une étincelle suffirait pour enflammer l'zippo
Credits
Writer(s): Téo Dabrowski Piano
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