Mirages
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Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Ressens la pluie du k-way sur toute la ligne du tramway
Ferme les yeux, peut-être aurai-je dû garder
toutes ces lettres d'amour pour toi, ces brefs pas de parcours sournois
Ne m'en veux pas, si j'ai pris la route pour ça
Si j'ai fui, si j'ai fait ce que je pense qui est faux
Si j'enfouis, si je demande qui est faible et qui est fou
La vie est comme un road-movie où trop de questions sommeillent
L'impression de sentir la vie à chaque rayon d'soleil
Le rhume en terre d'asile et la brume dans l'air d'ma ville
Donnent l'assurance d'être abîmé par des romances versatiles
Pour une jouvencelle habile qu'à peine un courant d'air rhabille
Oui, j'assume la souffrance est facile
J'ai voulu souvent effacer les traces de violence et fissures
Un violacé fessier peut être une tourmente d'Épicure
Et à outrance c'est si dur de rester doux dans les figures
Que tu adoptes, ou quand s'accordent les bitures
Avec les cadences et les carences du quotidien
Et j'y repense en vacances ou dans le noctilien
mais bon c'est "bien dû pas acquis" ainsi va la vie
Ainsi va la vie
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Myope mi bête, les nuances sont plus belles
Demain j'oublie mes lunettes, du haut de sa fenêtre
On confond les feux tricolores derrière les jumelles
Les néons des faubourgs, la nuit sans paraître se montre
Elle ne renferme pas de monstres, et pas d'escaliers de secours
Je prie l'ange qui pour me garder sur tête, n'aura gardé qu'une aile
Et ses yeux creusés par les torrents d'eau tels des tunnels
Je m'abrite sous elle car peu rassurant le ciel s'agite
Recrachant ses nuages fuyant les plaques fumantes des ruelles
Cavalier sur une tour blanche et muette
Des pensées fleuries sur une pente où la descente est cruelle
Entre toi et le monde autour se construit une frontière bien formelle
La vision qui te lâche te provoque en duel
Les yeux fatigués dans la nuit se brûlent à forcer pour les voir
Certaines couleurs qui s'annulent entre elles fuient dans le feu des phares
Les vapeurs du sol répandent les nuages sur le trottoir
Les flaques reflètent la nuit Morphée en fait ses miroirs
Que la nuit se fasse plus belle
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Ressens la pluie du k-way sur toute la ligne du tramway
Ferme les yeux, peut-être aurai-je dû garder
toutes ces lettres d'amour pour toi, ces brefs pas de parcours sournois
Ne m'en veux pas, si j'ai pris la route pour ça
Si j'ai fui, si j'ai fait ce que je pense qui est faux
Si j'enfouis, si je demande qui est faible et qui est fou
La vie est comme un road-movie où trop de questions sommeillent
L'impression de sentir la vie à chaque rayon d'soleil
Le rhume en terre d'asile et la brume dans l'air d'ma ville
Donnent l'assurance d'être abîmé par des romances versatiles
Pour une jouvencelle habile qu'à peine un courant d'air rhabille
Oui, j'assume la souffrance est facile
J'ai voulu souvent effacer les traces de violence et fissures
Un violacé fessier peut être une tourmente d'Épicure
Et à outrance c'est si dur de rester doux dans les figures
Que tu adoptes, ou quand s'accordent les bitures
Avec les cadences et les carences du quotidien
Et j'y repense en vacances ou dans le noctilien
mais bon c'est "bien dû pas acquis" ainsi va la vie
Ainsi va la vie
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Images relâchent mirages, relève le grillage
Images relâchent volages nuances d'un naufrage
Myope mi bête, les nuances sont plus belles
Demain j'oublie mes lunettes, du haut de sa fenêtre
On confond les feux tricolores derrière les jumelles
Les néons des faubourgs, la nuit sans paraître se montre
Elle ne renferme pas de monstres, et pas d'escaliers de secours
Je prie l'ange qui pour me garder sur tête, n'aura gardé qu'une aile
Et ses yeux creusés par les torrents d'eau tels des tunnels
Je m'abrite sous elle car peu rassurant le ciel s'agite
Recrachant ses nuages fuyant les plaques fumantes des ruelles
Cavalier sur une tour blanche et muette
Des pensées fleuries sur une pente où la descente est cruelle
Entre toi et le monde autour se construit une frontière bien formelle
La vision qui te lâche te provoque en duel
Les yeux fatigués dans la nuit se brûlent à forcer pour les voir
Certaines couleurs qui s'annulent entre elles fuient dans le feu des phares
Les vapeurs du sol répandent les nuages sur le trottoir
Les flaques reflètent la nuit Morphée en fait ses miroirs
Que la nuit se fasse plus belle
Credits
Writer(s): Simon Lemaire
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