C'est vrai
Ça recommence
J'aimerai juste m'en aller genre Fort-de-France
Oublier que tout ce que je fais aura forcément des conséquences
Je suis peut être maladroit quand j'y pense
Mais je vis à fond parce que c'est vrai
Qu'on peut mourir n'importe quand
C'est vrai qu'on pourrait toujours mentir
Si c'est pas un proche, et repartir tranquille
Avec les deux mains dans les poches
Mais ça vaut pas le coup quand c'est autant risqué
Que de dire la vérité avec les yeux dans ceux d'en face
De façon claire et franche
C'est vrai qu'on peut vite oublier, repartir la tête en bas
Sa main au-dessus du cendrier, craquer 10 clopes
En moins d'une heure, crois-moi ça c'est vite fait
Et ça me rappelle qui ne faut surtout pas jouer avec le temps
C'est vrai qu'on parle souvent d'atrocités
On ferme les yeux pour oublier tout ce qu'on n'a pas cité
Ma mère me dit Mathieu il ne faut pas que tu te couches si tard
Mais je me couche tard parce que
J'écris les autres problèmes plus importants
C'est vrai aussi que je suis jeune, je devrais pas penser à ça
Mais c'est plus fort que moi ça mijote dans mon cerveau
Je sens que d'un coup ça s'agite
Donc je relativise je me dis
C'est juste un son de plus pour tout mon clan
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Genre... c'est moi
Genre c'est moi, je dis de la merde ça je le sais pas... encore
En tout cas je l'écris sous mes battements de cœur
Je rentre, j'ai les mains moites
Est-ce que j'ai fais quelque chose de mal... encore
Je n'espère pas car tout ça ça m'écœure
Tout le monde rêve d'un changement de décor
Mais tout ce qu'on trouve c'est de la liqueur
Je contrôle même plus mes anti-corps
Quand j'écris seul dans mon lit tard
Dans ces cas-là je suis visiteur, mais je m'en fais pas
J'aurai toujours le mot au dos de la carte postale
Dans ma tête c'est quasi complet
Mais je pourrais tellement écrire
Si je n'utilisais pas que 10% comme un terrien
Enfin bref, moi au final qu'est-ce que tu veux que je te dise
Comme au début du 2ème couplet, même pire: moi j'en sais rien
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
J'aimerai juste m'en aller genre Fort-de-France
Oublier que tout ce que je fais aura forcément des conséquences
Je suis peut être maladroit quand j'y pense
Mais je vis à fond parce que c'est vrai
Qu'on peut mourir n'importe quand
C'est vrai qu'on pourrait toujours mentir
Si c'est pas un proche, et repartir tranquille
Avec les deux mains dans les poches
Mais ça vaut pas le coup quand c'est autant risqué
Que de dire la vérité avec les yeux dans ceux d'en face
De façon claire et franche
C'est vrai qu'on peut vite oublier, repartir la tête en bas
Sa main au-dessus du cendrier, craquer 10 clopes
En moins d'une heure, crois-moi ça c'est vite fait
Et ça me rappelle qui ne faut surtout pas jouer avec le temps
C'est vrai qu'on parle souvent d'atrocités
On ferme les yeux pour oublier tout ce qu'on n'a pas cité
Ma mère me dit Mathieu il ne faut pas que tu te couches si tard
Mais je me couche tard parce que
J'écris les autres problèmes plus importants
C'est vrai aussi que je suis jeune, je devrais pas penser à ça
Mais c'est plus fort que moi ça mijote dans mon cerveau
Je sens que d'un coup ça s'agite
Donc je relativise je me dis
C'est juste un son de plus pour tout mon clan
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Genre... c'est moi
Genre c'est moi, je dis de la merde ça je le sais pas... encore
En tout cas je l'écris sous mes battements de cœur
Je rentre, j'ai les mains moites
Est-ce que j'ai fais quelque chose de mal... encore
Je n'espère pas car tout ça ça m'écœure
Tout le monde rêve d'un changement de décor
Mais tout ce qu'on trouve c'est de la liqueur
Je contrôle même plus mes anti-corps
Quand j'écris seul dans mon lit tard
Dans ces cas-là je suis visiteur, mais je m'en fais pas
J'aurai toujours le mot au dos de la carte postale
Dans ma tête c'est quasi complet
Mais je pourrais tellement écrire
Si je n'utilisais pas que 10% comme un terrien
Enfin bref, moi au final qu'est-ce que tu veux que je te dise
Comme au début du 2ème couplet, même pire: moi j'en sais rien
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Dans tout ça je vois le positif
Les yeux parlent plus que les mots
Mais le filtre est négatif, genre c'est mort
Je pense aussi que c'est maladif
Mais quand je parle de tout ça
Tout est relatif, genre c'est moi
Credits
Writer(s): Mathieu Le Lay
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