La terre, je la dévore
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Combien on pris les paradis artificiels pour tremplin?
Je cherche à combler l'vide ou à évacuer l'trop-plein
J'fais que culpabiliser en regardant c'temps d'chien
J'rêve d'être sourd pour ne plus entendre aboyer mes frangins
Chaque jour la même rengaine, j'en veux à la terre entière
J'ai ce manque d'oxygène qui me fait angoisser
On devient des solitaires drogués aux somnifères
J'reste un sortilège, un esprit indompté
Avant d'essayer d'combattre les autres bats-toi
Contre toi, et toi seulement, bats-toi
Contre vents et marées, c'est plus possible
Personne peut nous empêcher d'sortir de nos chrysalides (chrysalides)
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Faut être plus forts qu'les murs qui s'construisent autour de nous
Près des fous pervertis par l'idée d'faire des sous
J'les vois douter d'janvier à août sous écrous, tout s'écroule
La seule prison d'où on ne s'échappe pas est cérébrale
Il nous reste l'imagination pour devenir télépathes
J'transforme ma chambre en avion long courrier
J'suis fatiguée mais j'ai la chance de partir en tournée
Les oiseaux brûlent dans les plaines de goudron
Les frères fument des joints de purin, en perdent leurs poumons
On franchit les dunes du Pilate, nous soufflons
Car sur le sol froid des regrets un jour nous jouerons
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où j'vide ma haine
J'essaie d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où j'vide ma haine
J'essaie d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Coûte que coûte
Dévorer la terre
On m'avait qu'il fallait marcher au pas
J'ai décidé de suivre mon chemin de croix
De toute façon, on voit très peu d'étoiles sur nos faubourgs
Les yeux fermés, on s'habitue aux temps qui courent
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Combien on pris les paradis artificiels pour tremplin?
Je cherche à combler l'vide ou à évacuer l'trop-plein
J'fais que culpabiliser en regardant c'temps d'chien
J'rêve d'être sourd pour ne plus entendre aboyer mes frangins
Chaque jour la même rengaine, j'en veux à la terre entière
J'ai ce manque d'oxygène qui me fait angoisser
On devient des solitaires drogués aux somnifères
J'reste un sortilège, un esprit indompté
Avant d'essayer d'combattre les autres bats-toi
Contre toi, et toi seulement, bats-toi
Contre vents et marées, c'est plus possible
Personne peut nous empêcher d'sortir de nos chrysalides (chrysalides)
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route, j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Faut être plus forts qu'les murs qui s'construisent autour de nous
Près des fous pervertis par l'idée d'faire des sous
J'les vois douter d'janvier à août sous écrous, tout s'écroule
La seule prison d'où on ne s'échappe pas est cérébrale
Il nous reste l'imagination pour devenir télépathes
J'transforme ma chambre en avion long courrier
J'suis fatiguée mais j'ai la chance de partir en tournée
Les oiseaux brûlent dans les plaines de goudron
Les frères fument des joints de purin, en perdent leurs poumons
On franchit les dunes du Pilate, nous soufflons
Car sur le sol froid des regrets un jour nous jouerons
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où j'vide ma haine
J'essaie d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où j'vide ma haine
J'essaie d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seule au milieu d'la route j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Coûte que coûte
Dévorer la terre
Coûte que coûte
Dévorer la terre
On m'avait qu'il fallait marcher au pas
J'ai décidé de suivre mon chemin de croix
De toute façon, on voit très peu d'étoiles sur nos faubourgs
Les yeux fermés, on s'habitue aux temps qui courent
Credits
Writer(s): Guillaume Silvestri, Remi Tobbal, Jean Karl Lucas, Emilie Sattonnet, Georges Edouard Nicolo
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.