Luna
Pris dans l'écume des jours, je rame à écrire un texte
Mais ne me noie dans l'amertume sous aucun prétexte
Si la vie est un test, je veux retrouver ma plume
Alors je lâche du lest et contemple la lune
Le plus clair de mon temps, elle guide mes pas
L'espace d'un instant, je suis ébloui par son éclat
Lanterne dans la pénombre, elle empli de rêves nos esprits
Le mien esquisse ses traits exquis et la façon dont elle luit
Quand ce monde obscur nous mène à la dérive
Elle nous empêche de chavirer, la flamme en nous elle ravive
Rêvant de son ballet céleste, j'oublie que s'écoulent les heures
Mes soucis je délaisse, devant sa splendeur
Émerveillé de manière croissante, mes rimes coulent à flot
Discrète et envoutante, elle embellit le ciel de là-haut
Graviter auprès d'elle, en quatre mots mon objectif
En cas de maux elle nous soigne ne reste pas inactive
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Son charme lui est donné par les traces du passé
Les marques qu'il lui a laissées amplifie sa beauté
Quand je songe à ses mers, mon inspiration est pleine d'idées
Les sons générés pour lui plaire doivent bien la faire marrer
Croyant décrire l'éclat lunaire je me suis voilé la face
Je ne suis pas Apollinaire, faut que je retrouve ma place
Le jour s'est levé, et elle a pris le large
Me laissant seul face au cahier, rempli de notes dans la marge
Sortant faire un tour, pour la dernière fois je la regarde
Une dernière toile de son parcours, un souvenir que je garde
Dehors je redécouvre, l'universalité de la détresse
Trop de sans-abris, il faut que l'indifférence cesse
L'air de rien, on parle peu, des parachutes dorés
Au profit de quelques-uns, combien de richesses envolées
De fric ils s'arrosent, corrompus ils sont mouillés
L'austérité ils imposent, en parlant de finances desséchées
Dépêchons nous de dédier du fric aux enfants en Afrique
Qui manient armes automatiques avant les mathématiques
Je trempe ma plume mais galère, à dépeindre leur enfer
La vague à l'âme j'enchaîne les vers
Pose une prose et reviens sur Terre
J'espère que le destin du monde ne sera pas aussi immonde
Que les desseins des marchands de bombe qui sont floraison de tombes
Affairé à trouvé un cadre pour partager ces propos
Je me souviens de la lune, et de son ellipse j'dresse un tableau
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Mais ne me noie dans l'amertume sous aucun prétexte
Si la vie est un test, je veux retrouver ma plume
Alors je lâche du lest et contemple la lune
Le plus clair de mon temps, elle guide mes pas
L'espace d'un instant, je suis ébloui par son éclat
Lanterne dans la pénombre, elle empli de rêves nos esprits
Le mien esquisse ses traits exquis et la façon dont elle luit
Quand ce monde obscur nous mène à la dérive
Elle nous empêche de chavirer, la flamme en nous elle ravive
Rêvant de son ballet céleste, j'oublie que s'écoulent les heures
Mes soucis je délaisse, devant sa splendeur
Émerveillé de manière croissante, mes rimes coulent à flot
Discrète et envoutante, elle embellit le ciel de là-haut
Graviter auprès d'elle, en quatre mots mon objectif
En cas de maux elle nous soigne ne reste pas inactive
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Son charme lui est donné par les traces du passé
Les marques qu'il lui a laissées amplifie sa beauté
Quand je songe à ses mers, mon inspiration est pleine d'idées
Les sons générés pour lui plaire doivent bien la faire marrer
Croyant décrire l'éclat lunaire je me suis voilé la face
Je ne suis pas Apollinaire, faut que je retrouve ma place
Le jour s'est levé, et elle a pris le large
Me laissant seul face au cahier, rempli de notes dans la marge
Sortant faire un tour, pour la dernière fois je la regarde
Une dernière toile de son parcours, un souvenir que je garde
Dehors je redécouvre, l'universalité de la détresse
Trop de sans-abris, il faut que l'indifférence cesse
L'air de rien, on parle peu, des parachutes dorés
Au profit de quelques-uns, combien de richesses envolées
De fric ils s'arrosent, corrompus ils sont mouillés
L'austérité ils imposent, en parlant de finances desséchées
Dépêchons nous de dédier du fric aux enfants en Afrique
Qui manient armes automatiques avant les mathématiques
Je trempe ma plume mais galère, à dépeindre leur enfer
La vague à l'âme j'enchaîne les vers
Pose une prose et reviens sur Terre
J'espère que le destin du monde ne sera pas aussi immonde
Que les desseins des marchands de bombe qui sont floraison de tombes
Affairé à trouvé un cadre pour partager ces propos
Je me souviens de la lune, et de son ellipse j'dresse un tableau
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Luna astre à la source
De toute poésie
J'admire ta course
Dans le ciel infini
Innocente dans ta danse
Tu brilles d'élégance
J'admire ta prestance
Dans l'univers qui s'étend
Credits
Writer(s): Georges Clementz
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