Rien
Il est dix heures...
C'est une rue féconde
Assise là sur le monde
Fumant tes heures
Un bout de silence il t'harangue
Tous les passants se demandent
Si t'es pas morte
Bien sûr tu n'me vois pas
Bien sûr tu ne bouges pas
C'est une ville en pleurs
Qui court après ses heures
Pourquoi tu trembles?
Il est dix heures...
C'est un jour de carnaval
Enlisé dans ton égal
Buvant tes heures
L'odeur des couleur de la transe
Regarde, il se font la danse
Toi sur ta plaine
Le poteau de moisissure
Le vent secoue ta tonsure
C'est un troupeau joyeux
Et malgré les envieux
Veulent te pendre
Il est dix heures...
Les quelques doigts
Qui te restent
Greffés à ton corps que je presse
Comptant tes heures
Pour que s'écoule
Un peu sur ta peau
Pour un soupir s'écoule un sanglot
Au d'ssus d'une branche
Alors ne remet pas à plus tard
Et tu nous emmerdes avec tes histoires
C'est une ville en feu
Ah j'ai vu bouger ses yeux
Et volent les cendres
Quel doux plaisir
Dont il ne vient rien
D'est qu'il vient
Déjà quelque chose
Ce doux plaisir
Dui va et qui vient
Et c'est quelque chose et c'est rien
Et tu diras
Au fond du silence
Que lorsqu'il marche
On entend ses pas
Il est dix heures...
C'est une rue féconde
Assise là sur le monde
Fumant tes heures
Un bout de silence il t'harangue
Tous les passants se demandent
Si t'es pas morte
Bien sûr tu n'me vois pas
Bien sûr tu ne bouges pas
C'est une ville en pleurs
Qui court après ses heures
Pourquoi tu trembles?
Il est dix heures...
C'est un jour de carnaval
Enlisé dans ton égal
Buvant tes heures
L'odeur des couleur de la transe
Regarde, il se font la danse
Toi sur ta plaine
Le poteau de moisissure
Le vent secoue ta tonsure
C'est un troupeau joyeux
Et malgré les envieux
Veulent te pendre
Il est dix heures...
Les quelques doigts
Qui te restent
Greffés à ton corps que je presse
Comptant tes heures
Pour que s'écoule
Un peu sur ta peau
Pour un soupir s'écoule un sanglot
Au d'ssus d'une branche
Alors ne remet pas à plus tard
Et tu nous emmerdes avec tes histoires
C'est une ville en feu
Ah j'ai vu bouger ses yeux
Et volent les cendres
Quel doux plaisir
Dont il ne vient rien
D'est qu'il vient
Déjà quelque chose
Ce doux plaisir
Dui va et qui vient
Et c'est quelque chose et c'est rien
Et tu diras
Au fond du silence
Que lorsqu'il marche
On entend ses pas
Il est dix heures...
Credits
Writer(s): Christian Olivier Coader, Pascal Olivier, Gregoire Jean M. Simon, Anne Gaelle Bisquay, Pierre Paul Gauthe, Jean Luc Millot, Serge Jean Begout
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.