Sur mon épaule
Si tout avait été dit, été fait
Tout recherché, tout découvert
Qu'aurais-je donc pu souhaiter te dire
Pour réinventer tes hivers?
Que les mots ne sont pas des armes
Qu'il n'y a pas de guerre entre les lignes
Pas de soldat dans le sillon de tes larmes
Pas de sang plus rouge que celui des vignes
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une plume qui s'égare, un murmure comme un Je t'aime
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une terre blanche et des souvenirs qu'on sème
Si tout avait été vu dans les cieux
Prédit par je ne sais quelle lumière
Par je ne sais quels sorte de dieu
Qu'aurais-je dit dans mes prières?
Que tes baisers sont tout ce que je crois
Qu'il y a des ombres dans les mains levées
Vers ces lieux vides que personne ne voit
Où se perdent toutes les paroles et pensées
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une plume qui s'égare, un murmure comme un Je t'aime
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une terre blanche et des souvenirs qu'on sème
Et si demain, soudain, tout s'éteint
Tout disparaît dans un grand éclair blanc
Je pourrais encore t'écrire des matins
De ces matins qui ne partent pas au vent
Tout recherché, tout découvert
Qu'aurais-je donc pu souhaiter te dire
Pour réinventer tes hivers?
Que les mots ne sont pas des armes
Qu'il n'y a pas de guerre entre les lignes
Pas de soldat dans le sillon de tes larmes
Pas de sang plus rouge que celui des vignes
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une plume qui s'égare, un murmure comme un Je t'aime
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une terre blanche et des souvenirs qu'on sème
Si tout avait été vu dans les cieux
Prédit par je ne sais quelle lumière
Par je ne sais quels sorte de dieu
Qu'aurais-je dit dans mes prières?
Que tes baisers sont tout ce que je crois
Qu'il y a des ombres dans les mains levées
Vers ces lieux vides que personne ne voit
Où se perdent toutes les paroles et pensées
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une plume qui s'égare, un murmure comme un Je t'aime
Sur mon épaule, ta tête posée comme un poème
Une terre blanche et des souvenirs qu'on sème
Et si demain, soudain, tout s'éteint
Tout disparaît dans un grand éclair blanc
Je pourrais encore t'écrire des matins
De ces matins qui ne partent pas au vent
Credits
Writer(s): Christophe Descouzères
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