Dieu est mort quand
Dieu est mort, attends je m'explique
La dépouille est dans nos cœurs
Me parle pas de tes prières, me parle pas de tes contradictions
Tu respectes ta foi sous écrou
La confession une évasion
Mais tu dis qu'elle t'enferme dès que tu obtiens ta libération
Face à nos penchants on échoue
Alcool, postillons, pas de surprise, le monde un climat local
Argent, pouvoir, vida loca
D'accepter ce qu'on est, des âmes naïves sous emprise
Innocence bafouée parce qu'on nous crie qu'on est coupable
Mais moi et moi n'étions pas là, on va partir, excusez-nous
Votre héritage de testament, tout ça maintient les gens à genoux
J'cherche pas à m'échapper depuis que la mort elle sait Snaper
Mais si je te laisse croire ce que tu veux
Toi, laisse-moi tenir debout, oh
Pour être saint c'est simple
J'arrête de penser qu'une envie est un péché
Lorsque l'ange avoue ses démons
Il les combat là où les liens du secret créent des mineurs attouchés
Ne te mens pas, fais tout l'inverse
Raconte-toi jeune martyr
Raconte que tu te sacrifies pour avoir un ciel où crécher
Trouver sa route ça prend une vie donc on emprunte un raccourci
Le livre en guise de GPS, on coupe par un parcours fléché
Personne pieuse, pas parfaite mais honnête face à leur curiosité
Entre débauche et dignité, elles choisissent pas
Révolution parfois se résume à fumer des cultes
Le temps d'un blunt sur Chan Chan de Buena Vista
Dieu est mort quand la guerre est là
Assassine en son nom
Quand on accuse tous les sans toits
C'est leur faute, le carton
Quand le couple est normé, la soumission genrée
Les pensées formatées, les rôles assignés
Quand la loi est viciée, l'innocence tarifée
La justice emprisonnée avec nos libertés
Dieu est mort quand
Dieu est mort quand
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Dieu est mort quand j'oublie qu'il est moi, qu'il s'accroche
Le très-haut c'est trop loin, le miroir c'est plus proche
Mon prochain c'est le voyage, pèlerinage classe éco
J'suis piéton comme toi, nos semelles nous déposent
Magie nègre, la nuit tombe, le carême disparaît
Cendrillon s'prostitue rêvant de palais
Chemin de croix d'immigrés arrivés à Calais
La divine providence, question, où elle est?
Si mouton suit brebis va s'égarer
Demandera des comptes à son ancien berger
Au lieu de travailler à construire sa pensée
Mais quand il s'agit de nous on devient vacancier
Et si je me convertis c'est à l'humanité
Qu'elle soit courtière, opiomane ou athée
Tant qu'elle s'assume et qu'elle n'empiète pas
Sur mes pratiques perso je lui emboîte le pas
T'as pas foi au chapitre, concernant mon éthique
J'écris ce que je rêve dans mes titres et j'assure l'office
Mais le micro ne m'sert pas à du prêchi-prêcha
J'm'exorcise sur scène, ça m'suffit déjà
Public rédempteur pour artiste profane
Laïc, je sépare le privé du GAFAM
Donc souvent j'suis offline
J'suis en veille, j'suis au calme
Dame nature qui m'observe croit s'apercevoir
Dieu est mort quand la guerre est là
Assassine en son nom
Quand on accuse tous les sans toits
C'est leur faute, les cartons
Quand le couple est normé, la soumission genrée
Les pensées formatées, les rôles assignés
Quand la loi est viciée, l'innocence tarifée
La justice emprisonnée avec nos libertés
Dieu est mort quand
Dieu est mort quand
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Quand on oublie qu'on a ses yeux
La dépouille est dans nos cœurs
Me parle pas de tes prières, me parle pas de tes contradictions
Tu respectes ta foi sous écrou
La confession une évasion
Mais tu dis qu'elle t'enferme dès que tu obtiens ta libération
Face à nos penchants on échoue
Alcool, postillons, pas de surprise, le monde un climat local
Argent, pouvoir, vida loca
D'accepter ce qu'on est, des âmes naïves sous emprise
Innocence bafouée parce qu'on nous crie qu'on est coupable
Mais moi et moi n'étions pas là, on va partir, excusez-nous
Votre héritage de testament, tout ça maintient les gens à genoux
J'cherche pas à m'échapper depuis que la mort elle sait Snaper
Mais si je te laisse croire ce que tu veux
Toi, laisse-moi tenir debout, oh
Pour être saint c'est simple
J'arrête de penser qu'une envie est un péché
Lorsque l'ange avoue ses démons
Il les combat là où les liens du secret créent des mineurs attouchés
Ne te mens pas, fais tout l'inverse
Raconte-toi jeune martyr
Raconte que tu te sacrifies pour avoir un ciel où crécher
Trouver sa route ça prend une vie donc on emprunte un raccourci
Le livre en guise de GPS, on coupe par un parcours fléché
Personne pieuse, pas parfaite mais honnête face à leur curiosité
Entre débauche et dignité, elles choisissent pas
Révolution parfois se résume à fumer des cultes
Le temps d'un blunt sur Chan Chan de Buena Vista
Dieu est mort quand la guerre est là
Assassine en son nom
Quand on accuse tous les sans toits
C'est leur faute, le carton
Quand le couple est normé, la soumission genrée
Les pensées formatées, les rôles assignés
Quand la loi est viciée, l'innocence tarifée
La justice emprisonnée avec nos libertés
Dieu est mort quand
Dieu est mort quand
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Dieu est mort quand j'oublie qu'il est moi, qu'il s'accroche
Le très-haut c'est trop loin, le miroir c'est plus proche
Mon prochain c'est le voyage, pèlerinage classe éco
J'suis piéton comme toi, nos semelles nous déposent
Magie nègre, la nuit tombe, le carême disparaît
Cendrillon s'prostitue rêvant de palais
Chemin de croix d'immigrés arrivés à Calais
La divine providence, question, où elle est?
Si mouton suit brebis va s'égarer
Demandera des comptes à son ancien berger
Au lieu de travailler à construire sa pensée
Mais quand il s'agit de nous on devient vacancier
Et si je me convertis c'est à l'humanité
Qu'elle soit courtière, opiomane ou athée
Tant qu'elle s'assume et qu'elle n'empiète pas
Sur mes pratiques perso je lui emboîte le pas
T'as pas foi au chapitre, concernant mon éthique
J'écris ce que je rêve dans mes titres et j'assure l'office
Mais le micro ne m'sert pas à du prêchi-prêcha
J'm'exorcise sur scène, ça m'suffit déjà
Public rédempteur pour artiste profane
Laïc, je sépare le privé du GAFAM
Donc souvent j'suis offline
J'suis en veille, j'suis au calme
Dame nature qui m'observe croit s'apercevoir
Dieu est mort quand la guerre est là
Assassine en son nom
Quand on accuse tous les sans toits
C'est leur faute, les cartons
Quand le couple est normé, la soumission genrée
Les pensées formatées, les rôles assignés
Quand la loi est viciée, l'innocence tarifée
La justice emprisonnée avec nos libertés
Dieu est mort quand
Dieu est mort quand
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Quand on oublie qu'on a ses yeux
Credits
Writer(s): Alexandre Ruggeri, Edgar Sekloka
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