Au singulier
Dis-moi ce que tu deviens, est-ce que t'es toujours la même
Tu dis toujours "j'fais plus la gueule", alors que tu la fais quand même
Est-ce que tu es retournée chez nous, tu sais le resto qu'on aimait bien
Là où avant qu'le plat arrive, on avait déjà fini le pain
Est-ce que tu parles à quelqu'un d'autre quand tu te réveilles la nuit
Est-ce que tu penses à quelqu'un d'autre à qui t'écris quand tu t'ennuies
Est-ce que ton père me déteste encore parce qu'on a pas les mêmes croyances
Et chantes-tu toujours aussi mal sur des putains d'sons à l'ancienne
Tu choisis toujours le film et tu t'endors au générique
Est-ce que tu te rappelles quand on s'est dit "Bye bye" comme Menelik
Est-ce qu'on a pas raté quelque chose, est-ce qu'on a pas raté nos vies
Est-ce que tu t'rappelles des prénoms qu'on avait choisis pour nos filles
Moi j'ai du mal à t'oublier, du mal à me dire que c'est mort
Du mal à me dire que c'est toi, du mal à comprendre comme c'est fort
Ouais les autres l'ont toujours eu, comme toi, j'en ai connu aucune
Des femmes, je sais qu'il y en a plein, mais des "toi" y en a toujours qu'une
Et je cherche encore celle qui m'fera t'oublier
Mais y a que ton corps dans mon cœur, c'est verrouillé
Que c'est loin hier, quand on aimait s'embrouiller
Là, ma seule prière, c'est de dire "nous" au singulier
Au singulier
Moi j'ai pas vraiment changé, j'bois toujours mon café noir
D'la couleur de mes idées, toujours pas le gendre idéal
J'laisse un peu ma barbe pousser, ça t'plait pas mais j'ai la flemme
J'parle à des filles d'Instagram, tu sais, celles qui aiment la fame
J'fais toujours des vannes au mauvais moment, sur ça j'bouge pas
J'pense au temps où j'ai pu regarder juste ta bouche-là
Quand tu parlais seule, quand on rentrait pas sobres
Aux formes de ton corps, chaque fois que j'enlevais ta robe
Pardon, j'm'égare mais tu me manques
Si j'le dis pas c'est comme si j'mentais, ouais
C'est indécent comme lorsqu'on montait
À l'étage, puis tu sais ce qu'on y faisait
Dis-moi comment t'as mis l'feu à un cœur ignifugé
Ça fait des années qu'on s'est pas vu, fallait qu'j'tombe sur toi
Juste là dans mon vieux survêt' sale et un peu en surpoids
Nos âmes s'sont heurtées violemment comme un rocher à une écume
Des femmes, je sais qu'il y en a plein mais des "toi", y en a toujours qu'une
Et je cherche encore celle qui m'fera t'oublier
Mais y a que ton corps dans mon cœur, c'est verrouillé
Que c'est loin hier, quand on aimait s'embrouiller
Là, ma seule prière, c'est de dire "nous" au singulier
Au singulier
Tu dis toujours "j'fais plus la gueule", alors que tu la fais quand même
Est-ce que tu es retournée chez nous, tu sais le resto qu'on aimait bien
Là où avant qu'le plat arrive, on avait déjà fini le pain
Est-ce que tu parles à quelqu'un d'autre quand tu te réveilles la nuit
Est-ce que tu penses à quelqu'un d'autre à qui t'écris quand tu t'ennuies
Est-ce que ton père me déteste encore parce qu'on a pas les mêmes croyances
Et chantes-tu toujours aussi mal sur des putains d'sons à l'ancienne
Tu choisis toujours le film et tu t'endors au générique
Est-ce que tu te rappelles quand on s'est dit "Bye bye" comme Menelik
Est-ce qu'on a pas raté quelque chose, est-ce qu'on a pas raté nos vies
Est-ce que tu t'rappelles des prénoms qu'on avait choisis pour nos filles
Moi j'ai du mal à t'oublier, du mal à me dire que c'est mort
Du mal à me dire que c'est toi, du mal à comprendre comme c'est fort
Ouais les autres l'ont toujours eu, comme toi, j'en ai connu aucune
Des femmes, je sais qu'il y en a plein, mais des "toi" y en a toujours qu'une
Et je cherche encore celle qui m'fera t'oublier
Mais y a que ton corps dans mon cœur, c'est verrouillé
Que c'est loin hier, quand on aimait s'embrouiller
Là, ma seule prière, c'est de dire "nous" au singulier
Au singulier
Moi j'ai pas vraiment changé, j'bois toujours mon café noir
D'la couleur de mes idées, toujours pas le gendre idéal
J'laisse un peu ma barbe pousser, ça t'plait pas mais j'ai la flemme
J'parle à des filles d'Instagram, tu sais, celles qui aiment la fame
J'fais toujours des vannes au mauvais moment, sur ça j'bouge pas
J'pense au temps où j'ai pu regarder juste ta bouche-là
Quand tu parlais seule, quand on rentrait pas sobres
Aux formes de ton corps, chaque fois que j'enlevais ta robe
Pardon, j'm'égare mais tu me manques
Si j'le dis pas c'est comme si j'mentais, ouais
C'est indécent comme lorsqu'on montait
À l'étage, puis tu sais ce qu'on y faisait
Dis-moi comment t'as mis l'feu à un cœur ignifugé
Ça fait des années qu'on s'est pas vu, fallait qu'j'tombe sur toi
Juste là dans mon vieux survêt' sale et un peu en surpoids
Nos âmes s'sont heurtées violemment comme un rocher à une écume
Des femmes, je sais qu'il y en a plein mais des "toi", y en a toujours qu'une
Et je cherche encore celle qui m'fera t'oublier
Mais y a que ton corps dans mon cœur, c'est verrouillé
Que c'est loin hier, quand on aimait s'embrouiller
Là, ma seule prière, c'est de dire "nous" au singulier
Au singulier
Credits
Writer(s): Yoann Haouzi, Duane Lafitte
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