Le monde en main
Je domine à l'aise, j'écrase et j'oppresse
Si loin de savoir, tout ce que j'incarne
Voilà le concept, je veux que t'acceptes
Devant moi de baisser la tête et les armes
Je ne m'autorise que peu de confidences
Mes émotions assourdies par le silence
Mon genre en médaille drapé dans ma confiance
Maintenant je me lance
Je me convaincs, j'affirme en vain
Sans forcer j'ai le monde en main
Je m'abandonne, je déraisonne sans lendemain
Les secousses passent, je ne peux les bannir
Moi je pousse, je pousse, je pousse mon cœur au pire
Droit comme un homme, l'âme au summum
Quand mon égo en fait des tonnes
Je me vois grand, me sens vivant et je frissonne
Je ne me soucie que peu de tout détruire
Quand je cours, je cours, je cours pour ne pas fuir
Je maudis les prières, j'éduque mes frères
Leur apprenant à ravaler les larmes
Déconstruire et défaire, peu m'importe guère
Mes précieux privilèges je me les garde
Je ne m'autorise que peu de confidences
Mes émotions assourdies par le silence
Mon genre en médaille drapé dans ma confiance
Maintenant je me lance
Je me convaincs, j'affirme en vain
Sans forcer j'ai le monde en main
Je m'abandonne, je déraisonne sans lendemain
Les secousses passent, je ne peux les bannir
Moi je pousse, je pousse, je pousse mon cœur au pire
Droit comme un homme, l'âme au summum
Quand mon égo en fait des tonnes
Je me vois grand, me sens vivant et je frissonne
Je ne me soucie que peu de tout détruire
Quand je cours, je cours, je cours pour ne pas fuir
Si loin de savoir, tout ce que j'incarne
Voilà le concept, je veux que t'acceptes
Devant moi de baisser la tête et les armes
Je ne m'autorise que peu de confidences
Mes émotions assourdies par le silence
Mon genre en médaille drapé dans ma confiance
Maintenant je me lance
Je me convaincs, j'affirme en vain
Sans forcer j'ai le monde en main
Je m'abandonne, je déraisonne sans lendemain
Les secousses passent, je ne peux les bannir
Moi je pousse, je pousse, je pousse mon cœur au pire
Droit comme un homme, l'âme au summum
Quand mon égo en fait des tonnes
Je me vois grand, me sens vivant et je frissonne
Je ne me soucie que peu de tout détruire
Quand je cours, je cours, je cours pour ne pas fuir
Je maudis les prières, j'éduque mes frères
Leur apprenant à ravaler les larmes
Déconstruire et défaire, peu m'importe guère
Mes précieux privilèges je me les garde
Je ne m'autorise que peu de confidences
Mes émotions assourdies par le silence
Mon genre en médaille drapé dans ma confiance
Maintenant je me lance
Je me convaincs, j'affirme en vain
Sans forcer j'ai le monde en main
Je m'abandonne, je déraisonne sans lendemain
Les secousses passent, je ne peux les bannir
Moi je pousse, je pousse, je pousse mon cœur au pire
Droit comme un homme, l'âme au summum
Quand mon égo en fait des tonnes
Je me vois grand, me sens vivant et je frissonne
Je ne me soucie que peu de tout détruire
Quand je cours, je cours, je cours pour ne pas fuir
Credits
Writer(s): Renaud Rebillaud, Camelia Jordana
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