Histoire d'homme
Je suis parti un jour avec cent balles en poches
Des idées plein la tête et mes envies de mioche
Ailleurs, c'est toujours mieux, j'avais dit à mon père
Là-bas, au moins j'existe et sais à quoi je sers
Tu veux partir, va-t'en, espèce d'huluberlu
On a tous eu vingt ans, m'avait-il répondu
Rappelle-toi qu'on t'aime, qui tu es, d'où tu viens
Dans la joie, dans la peine, fais honneur aux tiens
Tout allait bien
Ma vie, sans doute
Tenait la route, ou presque
Femme et enfants, un chien
Maison, argent, voitures, copains
Mais à trop aimer, à trop vouloir
On en devient aveugle
Un beau matin ou pire, un soir
Sans crier gare, il est trop tard
Alors, on s'invente des histoires
Comme au temps où l'on était gamin
Mais là, y'a plus personne pour te dire
Qui tu es et d'où tu viens
Tu sombres dans la déprime d'un trop plein de chagrin
Te bourres d'amphétamines pour ne pas voir demain
Dormir, rêver
Hier, départ
Ailleurs
C'est l'heure et puis plus rien
On dit souvent que l'insistance
N'amène à rien que le dédain
Si tel en est ainsi le sens
J'aurai appris dans mon chagrin
Et toi, mon fil, puisqu'il est l'heure que tu t'en ailles et bien, va-t'en
Ecris ta vie comme tu le veux
Et puis, le jour venu, quand il viendra
Fais en autant!
Fais en autant!
Des idées plein la tête et mes envies de mioche
Ailleurs, c'est toujours mieux, j'avais dit à mon père
Là-bas, au moins j'existe et sais à quoi je sers
Tu veux partir, va-t'en, espèce d'huluberlu
On a tous eu vingt ans, m'avait-il répondu
Rappelle-toi qu'on t'aime, qui tu es, d'où tu viens
Dans la joie, dans la peine, fais honneur aux tiens
Tout allait bien
Ma vie, sans doute
Tenait la route, ou presque
Femme et enfants, un chien
Maison, argent, voitures, copains
Mais à trop aimer, à trop vouloir
On en devient aveugle
Un beau matin ou pire, un soir
Sans crier gare, il est trop tard
Alors, on s'invente des histoires
Comme au temps où l'on était gamin
Mais là, y'a plus personne pour te dire
Qui tu es et d'où tu viens
Tu sombres dans la déprime d'un trop plein de chagrin
Te bourres d'amphétamines pour ne pas voir demain
Dormir, rêver
Hier, départ
Ailleurs
C'est l'heure et puis plus rien
On dit souvent que l'insistance
N'amène à rien que le dédain
Si tel en est ainsi le sens
J'aurai appris dans mon chagrin
Et toi, mon fil, puisqu'il est l'heure que tu t'en ailles et bien, va-t'en
Ecris ta vie comme tu le veux
Et puis, le jour venu, quand il viendra
Fais en autant!
Fais en autant!
Credits
Writer(s): Jean-paul Lafitte
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