Banal bibliothèque
La journée qui se veut tranquille théâtre
Assis sur un banc des plus beiges
Y'a tellement de choses qui se passent pas vite
Tout a bien été, tout est calme café
On a senti le froid de la forêt
Formé une bulle balloune autour des sans-thés
100 bébés grandissent au bout de ton nez
Les yeux fermés d'un homme rose raté
Rire à chaudes larmes lumières
Amis pour tous nos anniversaires
Laisser les épines sur les fleurs erreurs
La place de la platitude est dans les plantes
Y'a rien d'pire qu'une job joker
Tu m'as jamais vu rire de même
Si mourir coûte du cash aux êtres chers
Ce serait facile de travailler d'travers
On lira pas dans notre futur fucké
On s'crosse jusqu'à jouir sur l'impossible
J'veux pas prévoir que j'vais vomir vivant
Que j'vais tousser ténèbres, tomber coma calmant
La force de soulever les souvenirs décryptés
L'abandon est banal bibliothèque
La fatigue fondra comme le sablier qui n'coule pas
J'te jure, j'te jure, y'en a pas un osti qu'y aime ça
La tête est tornade et les tisons sont tempêtes
L'incendie est insensé et parle de lui-même
Le bonheur brûlure est emporté par l'air bête
Les parents sont parenthèses et portent le malaise
Le risque de peut-être perdre la poésie
L'enfant apprend plus de la famille fourmi
Quand les yeux restent aveugles et vides
Le rêve apporte la monnaie, mais le portefeuille coupe le sifflet
Assis sur un banc des plus beiges
Y'a tellement de choses qui se passent pas vite
Tout a bien été, tout est calme café
On a senti le froid de la forêt
Formé une bulle balloune autour des sans-thés
100 bébés grandissent au bout de ton nez
Les yeux fermés d'un homme rose raté
Rire à chaudes larmes lumières
Amis pour tous nos anniversaires
Laisser les épines sur les fleurs erreurs
La place de la platitude est dans les plantes
Y'a rien d'pire qu'une job joker
Tu m'as jamais vu rire de même
Si mourir coûte du cash aux êtres chers
Ce serait facile de travailler d'travers
On lira pas dans notre futur fucké
On s'crosse jusqu'à jouir sur l'impossible
J'veux pas prévoir que j'vais vomir vivant
Que j'vais tousser ténèbres, tomber coma calmant
La force de soulever les souvenirs décryptés
L'abandon est banal bibliothèque
La fatigue fondra comme le sablier qui n'coule pas
J'te jure, j'te jure, y'en a pas un osti qu'y aime ça
La tête est tornade et les tisons sont tempêtes
L'incendie est insensé et parle de lui-même
Le bonheur brûlure est emporté par l'air bête
Les parents sont parenthèses et portent le malaise
Le risque de peut-être perdre la poésie
L'enfant apprend plus de la famille fourmi
Quand les yeux restent aveugles et vides
Le rêve apporte la monnaie, mais le portefeuille coupe le sifflet
Credits
Writer(s): Alexandre Gariépy
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