Si seulement
Ok c'est quoi déjà
Plus personne nous laisse tranquille
Tout l'monde nous court après qu'ce soit dans la rue, dans l'métro, le matin
Ok, c'est bon, on peut y aller (ouais, vas-y)
Plus personne nous laisse tranquille
Tout l'monde nous court après qu'ce soit dans la rue, dans l'métro, le matin ou bien dans l'aprèm'
On n'a pas commencé nos vies qu'elles sont déjà niquées
Parce qu'elles se ressemblent tellement toutes, c'est comme si elles avaient déjà leakées
Pourquoi t'es tout l'temps paniqué
Assiégé par le temps, il te parle d'amitié mais toi tu n'y vois qu'du mytho
On nous dit qu'on est différents mais tout ça c'est qu'un tas d'merde
Tu regardes ton voisin, bah tu vois bien qu'il t'admire
C'est vrai, c'est gentil que les gens te complimentent
Tu n'les crois jamais, méfiant comme un gars qui ment
On est attaqués d'toute part, les autres qui parlent
Sans cesse et d'toute part, de rien si tu t'barres
Ouais tout le monde est du-per
On s'écoute pas quand faut pas c'est tout qu'on perd, tuer ceux qui gagnent pas
Faut qu'j'respire avant de finir expiré comme Shakespeare
J'veux toujours être inspiré faut qu'on court, court, court
Fuir ce monde qui nous regarde
Nos vies sont des prisons, les autres gens sont nos gardes
On a tellement peur qu'on est tout le temps sur nos gardes
Suffit qu'on s'retourne pour qu'ils crachent sur nos gueules
Comment tu fais
Pour toujours dire les bonnes choses quand il faut
Pour jamais dire le mot de trop qui fâche
Et ne pas lâcher de larme quand tu flanches
Même quand tu fais de la merde ils sont impressionnés
Toi tu t'en bas les couilles, t'as pas de pression, nan
Dans tout ce que tu fais, t'es toujours passionné
Tu parles tout l'temps mais on t'a pas sonné
Génération TikTok, nouvelle addiction
Pendant que le temps fait tic-tac, toi tu t'excites
Toute la journée sur nos téls, voilà la malédiction
Mais l'espoir fait vivre, tu connais le dicton
J'aimerais leur faire tilter qu'ils sont matrixés
Leur montrer que la fiction les a asphyxiés
On nous donne tellement de likes mais si peu d'affection
On a beau les critiquer, les réseaux nous ont affecté
C'est le début d'une nouvelle ère, le début d'un nouvel homme
On vient changer le rap qui ne sait pas se renouveler
Que des copiés-collés, ça me met en colère
Le rap est à la mode, bientôt tu l'apprendras au collège
Mais j'ai bien peur qu'ils fassent ça pour les fans
Pour les likes, pour les loves et puis certains pour les femmes
Pour moi le rap est un art, il ne faut pas le cacher
C'qui compte c'est la qualité, ce n'est pas tant l'succès
Mais heureusement tout finit par se savoir
Plus tu montes et plus la chute est sanglante
Dans les sanglots, tu vas redescendre
Y a pas qu'en concert que la foule peut te soulever
Je ressens l'énergie du désespoir
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Je ressens l'énergie du désespoir (ouais)
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Mais la j'm'endors dans l'bus
Et bizarrement y a cette mélo qui m'reste
Quand je broie du noir dans l'doute
Il n'y a que cette mélo qui m'berce
Réveille toi
Je ressens l'énergie du désespoir
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Le train file à mille à l'heure, j'revois ma vie défiler
Mes joies, mes peurs, qui m'ont toujours affolé
Alors j'suis là, j'y repense pendant deux heures d'affilée
Mais le temps passe trop vite pour qu'on puisse le défier
La blague n'est pas drôle, t'y ris comme Ardisson (haha)
Faut vite qu'on s'barre d'ici, y a des bombeurs dessous
Être pote avec eux sans façon, ces gens là sont faussés, c'est qu'des contrefaçons
Génération 2000, un nouveau millénaire
Les filles sont belles et tout s'passe à mille à l'heure
Génération 2000, quel étrange millénaire
On meurt plus parce qu'on mange pas mais plutôt parce qu'on mange mal
Encerclés de nuit, mes proches on s'regarde pas dans les yeux
Pour ne pas voir qu'l'humanité a perdu son âme à mi-temps
Et mon gars si t'as des lacunes, on te dira "c'est toi le con"
Mais reste-toi, mais fais pas la queue et tu niqueras ce qui la faut
Faut qu'j'respire, faut qu'j'respire
Faut qu'j'inspire car, faut qu'j'espère
Malgré le mal qu'on s'fait faut croire qu'on s'aime
J'vais avancer tout seul, me passer d'leurs conseils
On se dit que ça va alors qu'on saigne
Il n'y a plus d'espoir, voilà leur seule consigne
Y a deux jours, j'ai pleuré dans mon sommeil
Gros je bad que quand j'atteints des sommets
Elle est partie, faut qu'je m'y fasse, trop d'espoir ça devient néfaste
J'suis toujours dans l'bus, j'parle pas
Si j'dois prendre un chemin, bah, j'prends l'pire
Je ressens l'énergie du désespoir dans cette mélo qui me lâche pas
Na-na-na-na, na-na-na-na-na-na
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement "tu", me fis sortir du jeu
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement Dieu, pouvait me dire adieu (dieu-dieu-dieu)
Plus personne nous laisse tranquille
Tout l'monde nous court après qu'ce soit dans la rue, dans l'métro, le matin
Ok, c'est bon, on peut y aller (ouais, vas-y)
Plus personne nous laisse tranquille
Tout l'monde nous court après qu'ce soit dans la rue, dans l'métro, le matin ou bien dans l'aprèm'
On n'a pas commencé nos vies qu'elles sont déjà niquées
Parce qu'elles se ressemblent tellement toutes, c'est comme si elles avaient déjà leakées
Pourquoi t'es tout l'temps paniqué
Assiégé par le temps, il te parle d'amitié mais toi tu n'y vois qu'du mytho
On nous dit qu'on est différents mais tout ça c'est qu'un tas d'merde
Tu regardes ton voisin, bah tu vois bien qu'il t'admire
C'est vrai, c'est gentil que les gens te complimentent
Tu n'les crois jamais, méfiant comme un gars qui ment
On est attaqués d'toute part, les autres qui parlent
Sans cesse et d'toute part, de rien si tu t'barres
Ouais tout le monde est du-per
On s'écoute pas quand faut pas c'est tout qu'on perd, tuer ceux qui gagnent pas
Faut qu'j'respire avant de finir expiré comme Shakespeare
J'veux toujours être inspiré faut qu'on court, court, court
Fuir ce monde qui nous regarde
Nos vies sont des prisons, les autres gens sont nos gardes
On a tellement peur qu'on est tout le temps sur nos gardes
Suffit qu'on s'retourne pour qu'ils crachent sur nos gueules
Comment tu fais
Pour toujours dire les bonnes choses quand il faut
Pour jamais dire le mot de trop qui fâche
Et ne pas lâcher de larme quand tu flanches
Même quand tu fais de la merde ils sont impressionnés
Toi tu t'en bas les couilles, t'as pas de pression, nan
Dans tout ce que tu fais, t'es toujours passionné
Tu parles tout l'temps mais on t'a pas sonné
Génération TikTok, nouvelle addiction
Pendant que le temps fait tic-tac, toi tu t'excites
Toute la journée sur nos téls, voilà la malédiction
Mais l'espoir fait vivre, tu connais le dicton
J'aimerais leur faire tilter qu'ils sont matrixés
Leur montrer que la fiction les a asphyxiés
On nous donne tellement de likes mais si peu d'affection
On a beau les critiquer, les réseaux nous ont affecté
C'est le début d'une nouvelle ère, le début d'un nouvel homme
On vient changer le rap qui ne sait pas se renouveler
Que des copiés-collés, ça me met en colère
Le rap est à la mode, bientôt tu l'apprendras au collège
Mais j'ai bien peur qu'ils fassent ça pour les fans
Pour les likes, pour les loves et puis certains pour les femmes
Pour moi le rap est un art, il ne faut pas le cacher
C'qui compte c'est la qualité, ce n'est pas tant l'succès
Mais heureusement tout finit par se savoir
Plus tu montes et plus la chute est sanglante
Dans les sanglots, tu vas redescendre
Y a pas qu'en concert que la foule peut te soulever
Je ressens l'énergie du désespoir
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Je ressens l'énergie du désespoir (ouais)
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Mais la j'm'endors dans l'bus
Et bizarrement y a cette mélo qui m'reste
Quand je broie du noir dans l'doute
Il n'y a que cette mélo qui m'berce
Réveille toi
Je ressens l'énergie du désespoir
Sun Tzu a investi mon esprit
Il n'y a que cet espoir qui me laisse croire
Que quoi qu'il arrive, gros, je me surpasse
Le train file à mille à l'heure, j'revois ma vie défiler
Mes joies, mes peurs, qui m'ont toujours affolé
Alors j'suis là, j'y repense pendant deux heures d'affilée
Mais le temps passe trop vite pour qu'on puisse le défier
La blague n'est pas drôle, t'y ris comme Ardisson (haha)
Faut vite qu'on s'barre d'ici, y a des bombeurs dessous
Être pote avec eux sans façon, ces gens là sont faussés, c'est qu'des contrefaçons
Génération 2000, un nouveau millénaire
Les filles sont belles et tout s'passe à mille à l'heure
Génération 2000, quel étrange millénaire
On meurt plus parce qu'on mange pas mais plutôt parce qu'on mange mal
Encerclés de nuit, mes proches on s'regarde pas dans les yeux
Pour ne pas voir qu'l'humanité a perdu son âme à mi-temps
Et mon gars si t'as des lacunes, on te dira "c'est toi le con"
Mais reste-toi, mais fais pas la queue et tu niqueras ce qui la faut
Faut qu'j'respire, faut qu'j'respire
Faut qu'j'inspire car, faut qu'j'espère
Malgré le mal qu'on s'fait faut croire qu'on s'aime
J'vais avancer tout seul, me passer d'leurs conseils
On se dit que ça va alors qu'on saigne
Il n'y a plus d'espoir, voilà leur seule consigne
Y a deux jours, j'ai pleuré dans mon sommeil
Gros je bad que quand j'atteints des sommets
Elle est partie, faut qu'je m'y fasse, trop d'espoir ça devient néfaste
J'suis toujours dans l'bus, j'parle pas
Si j'dois prendre un chemin, bah, j'prends l'pire
Je ressens l'énergie du désespoir dans cette mélo qui me lâche pas
Na-na-na-na, na-na-na-na-na-na
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement "tu", me fis sortir du jeu
Si seulement "tu", pouvais devenir un "je"
Si seulement Dieu, pouvait me dire adieu (dieu-dieu-dieu)
Credits
Writer(s): Alexandre Legallicier, Matthias Chastenet, Yanis Hadjar
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