Rôles

Aussi lumineux qu'une étoile intemporelle
Tu voudrais gratter tout les plans que j'élabore
Ou bien récolter toutes les terres qu'on laboure
A croire que tu sens un accord avec le tabouret la corde
Je ne me sens pas des votre mais l'apparence s'en mêle
À tout interpréter je ne me sens plus moi même
Donc ça attire les lumières bleus et la sirène
Donc c'est mon art que je met en scène plus qu'à joindre les mains sous le ciel

Plus de repères donc je vêtis la cape comme un ratpi
Sans répit, la kush aime troubler vision de ma rétine
Investir dans son art c'est s'écarter des normes
Mais je suis en forme, donc c'est d'un air libre que je dis qu'on ne m'arrête plus (Toujours)
Tu grails tes pillules avant de cramer cigarettes
Pour t'insérer dans un monde où tu suis les règles
Mais tu sens que tu t'écarte du pays des rêves, trêve
Voilà ce que tu veux de plus, trouver le temps d'être prêt
Tu veux la gloire et manier les billets du risque
Mais, ta pérennité ne sonnera au bout du fixe
Faut, provoquer la chance devenir épuisant comme un Larsen
Assez, épuisant pour que verrous finissent cassés
À chaque étapes tu te rends compte que t'es loin d'être prêt
D'ailleurs, raconte moi pourquoi poser des barrières
Tu veux le faire mais comment si tu regardes en arrière
Ton ego te bloque comme Palerme et de toi tu n'en a plus l'air, ah
Vrai et Soi-même
L'inspi viens en fin de soirée
A l'heure où les keufs s'amènent
Ou les teilles se lèvent, Trinquant à se barrer
Il est temps qu'on se casse de la, bah ouai
utopique comme l'au-delà, oh merde
Faut du biff et toucher d'autres papelards
Mais y'a pas de soucis j'ai mis les potaras

Aussi lumineux qu'une étoile intemporelle
Tu voudrais gratter tout les plans que j'élabore
Ou bien récolter toutes les terres qu'on laboure
A croire que tu sens un accord avec le tabouret la corde
Je ne me sens pas des votre mais l'apparence s'en mêle
À tout interpréter je ne suis plus moi-même
Donc ça attire les lumières bleus et la sirène
Donc c'est mon art que je mets en scène plus qu'à joindre les mains sous le ciel

Yeah
Je ride (Drive) et je m'en bat des stats
Mais bon l'objectif c'est remplir un stade (Strat)
Fais pas ta vache folle fais pas l'Alistar
Même si mon dos se rempli de couteau je suis pas Kalista
Je fais pas du LoL sale, n**** ça se ressent
Pas besoin de captain pour être dans l'étang
Press le replay avoue c'est tentant
Mais dès la première écoute t'entends que tympans le sentent
Je fais mes affaires, les autres peinent comme des crackhead
Haineux, depuis l'enfance on fuit l'inconnu, le perdre
T'es dedans si petit t'as pas reconnu le père
Ou que tu vis le pire
Bref t'as connu le fer
Donc frère, mets les pieds dedans, croque et mets les dents, yeah
Contourner les lois, vie de délinquants, yeah
Perdu dans la map, fumer la détente, clic
Ça c'est pour le moab, dont les soucis hantent, wow
Je tire une taff je médite
Parler mal évite
Pour mon arche je dédi
Tout prendre c'est prédit, yeah
Je tire une taff je médite
Parler mal évite
Pour mon arche je dédi
Tout prendre c'est prédit, ah
Vrais, je m'amène
L'inspi viens en fin de salaire
Alors que mes potes se la mettent
Mais j'ai pas le papier, je suis plus concernée
Il est temps qu'on se casse de la, bah ouai
utopique comme l'au-delà, oh merde
Faut du biff et toucher d'autres papelards
Mais y'a pas de soucis j'ai mis les potaras

Aussi lumineux qu'une étoile intemporelle
Tu voudrais gratter tout les plans que j'élabore
Ou bien récolter toutes les terres qu'on laboure
À croire que tu sens un accord avec le tabouret la corde
Je ne me sens pas des votres mais l'apparence s'en mêle
À tout interpréter je ne me sens plus moi même
Donc ça attire les lumières bleus et la sirène
Donc c'est mon art que je met en scène plus qu'à joindre les mains sous le ciel



Credits
Writer(s): Quincy Bordey
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