Oza - META

DISTANCE

Metal Gear Solid
J'ai la
Métal skin solide
Yeah
Lassitude lucide
"Là ça tue", j'me dis
Ouais mais
C'est que des fioritures jolies
Je stagne comme eau du marais
Mais machine lancée plus jamais je l'arrête
Yeah
Langage binaire quand j'récite mes pensées
De cool-al jsuis full comme le stockage de ton tel
J'observe depuis les fonds marins
Mes pensées sont prises dans ce ras-de-marée
J'laisse ton fantôme sur la piste
Regarde au loin j'ai déjà démarré
Mais chaque fois c'est partie remise
Tous les jours un peu plus je m'enlise
Je pense avoir trouvé le bon chemin mais ce n'est qu'un pas de plus vers la fin
Le plus dur c'est d'accepter son sort
Bien longtemps que j'ai pas vu Morphée
Je poursuis ma quête jusqu'à la mort ici j'vois que des photocopies comme Métamorph

J'ai du mal à dire ce que je pense
Trois centimes en poche
J'reste bloqué dans des cycles
Qui chaque fois recommencent
Dans ma tête mes pensées dansent
Dansent jusqu'à l'aube
Et mes vices comme avalanche
Chaque jour j'prends de la distance
J'ai du mal à dire ce que je pense
Trois centimes en poche
J'reste bloqué dans des cycles
Qui chaque fois recommencent
Dans ma tête mes pensées dansent
Dansent jusqu'à l'aube
Et mes vices comme avalanche
Chaque jour j'prends de la distance

J'ai la
Métal skin solide
Yeah
Lassitude lucide
"Là ça tue", j'me dis
Ouais mais
C'est que des fioritures jolies
Mais j'les entends partout comme le cri de Wilhelm
C'est quand part le Soleil que j'déploie mes ailes
C'est perché sur ma branche que j'regarde la scène
Que des moutons en chien pour un peu d'oseille
Pour un peu de fame, prêts à vendre père et mère
Pour trouver ma place je remue terre et mer
Mais dans ma vie je ne suis qu'intérimaire
Jamais rien terminé
À part deux-trois séries
Mais dis-moi comment faire
Comment rester sincère
En voyant que tous ces gens sont vides
Encore passé l'hiver
Grandissant dans ma serre
En attendant du Destin un signe
Des fois ça m'rend triste mais bon
Au moins j'ai pas touché le fond
Ou pas encore
Ils touchent du bois moi j'touche de l'or
(Ouais j'touche de l'or)
Métal
Skin
Solid
Yeah

J'ai du mal à dire ce que je pense
Trois centimes en poche
J'reste bloqué dans des cycles
Qui chaque fois recommencent
Dans ma tête mes pensées dansent
Dansent jusqu'à l'aube
Et mes vices comme avalanche
Chaque jour j'prends de la distance
J'ai du mal à dire ce que je pense
Trois centimes en poche
J'reste bloqué dans des cycles
Qui chaque fois recommencent
Dans ma tête mes pensées dansent
Dansent jusqu'à l'aube
Et mes vices comme avalanche
Chaque jour j'prends de la distance



Credits
Writer(s): Timothée Ozanon
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