La mauvaise herbe
Dans le Tarn
Se cache un petit hameau de terre
Où la vie était pure et l'eau était si claire
Mais le temps a prouvé que c'est lui qui gouverne
Et depuis les mauvaises herbes ont tout recouvert
Mes ancêtres, ont leur prénom dans le cimetière
Pas de tombe, juste un nom sur une petite pierre
Quelques fleurs, furent déposées pour qu'on s'en souvienne
Mais depuis les mauvaises herbes ont tout recouvert
Si je pouvais
J'écrirais des lignes
Pour changer tout ça
Là où les vignes couraient
Il ne reste que ruines
Et puis de la broussaille
Si un jour la terre s'ouvrait
On verrait aux racines
Qu'elles sont encore là
Et que ceux qui les entouraient
Ne sont pas loin d'ici
Et chante en cœur la la la la la
Une maison dans les vignes mangée par les racines
Noueuses comme les routes qui nous menèrent à ça
J'ai perdu mon chemin en regardant la cime
Mais je l'ai retrouvé par un heureux hasard
Tu sais j'ai de la peine pour ceux qui meurent assis
Le confort a volé le vrai bonheur aux hommes
Mais l'amour et l'ouvrage leur donnèrent asile
Et comme la mauvaise herbe, ils s'attachèrent au sol
Tout de noir
Le ciel a mis sa plus belle robe
On sera les seuls à s'attribuer l'aurore
Pour revoir quand le bleu sombre se mêle au rose
Et le boire comme quand la cannelle se mêle au rhum
Tout est sec
La terre rend moins que ce que l'on donne
Mais les cèpes réconfortent le cœur en automne
Les recettes sont faites de pommes de terre et de tomme
Elles sont simples, c'est vrai
Mais c'est fou ce qu'elles sont bonnes
Si je pouvais
J'écrirais des lignes
Pour changer tout ça
Là où les vignes couraient
Il ne reste que ruines
Et puis de la broussaille
Si un jour la terre s'ouvrait
On verrait aux racines
Qu'elles sont encore là
Et que ceux qui les entouraient
Ne sont pas loin d'ici
Et chante en cœur la la la la la
Une maison dans les vignes mangée par les racines
Noueuses comme les routes qui nous menèrent à ça
J'ai perdu mon chemin en regardant la cime
Mais je l'ai retrouvé par un heureux hasard
Tu sais j'ai de la peine pour ceux qui meurent assis
Le confort a volé le vrai bonheur aux hommes
Mais l'amour et l'ouvrage leur donnèrent asile
Et comme la mauvaise herbe, ils s'attachèrent au sol
Se cache un petit hameau de terre
Où la vie était pure et l'eau était si claire
Mais le temps a prouvé que c'est lui qui gouverne
Et depuis les mauvaises herbes ont tout recouvert
Mes ancêtres, ont leur prénom dans le cimetière
Pas de tombe, juste un nom sur une petite pierre
Quelques fleurs, furent déposées pour qu'on s'en souvienne
Mais depuis les mauvaises herbes ont tout recouvert
Si je pouvais
J'écrirais des lignes
Pour changer tout ça
Là où les vignes couraient
Il ne reste que ruines
Et puis de la broussaille
Si un jour la terre s'ouvrait
On verrait aux racines
Qu'elles sont encore là
Et que ceux qui les entouraient
Ne sont pas loin d'ici
Et chante en cœur la la la la la
Une maison dans les vignes mangée par les racines
Noueuses comme les routes qui nous menèrent à ça
J'ai perdu mon chemin en regardant la cime
Mais je l'ai retrouvé par un heureux hasard
Tu sais j'ai de la peine pour ceux qui meurent assis
Le confort a volé le vrai bonheur aux hommes
Mais l'amour et l'ouvrage leur donnèrent asile
Et comme la mauvaise herbe, ils s'attachèrent au sol
Tout de noir
Le ciel a mis sa plus belle robe
On sera les seuls à s'attribuer l'aurore
Pour revoir quand le bleu sombre se mêle au rose
Et le boire comme quand la cannelle se mêle au rhum
Tout est sec
La terre rend moins que ce que l'on donne
Mais les cèpes réconfortent le cœur en automne
Les recettes sont faites de pommes de terre et de tomme
Elles sont simples, c'est vrai
Mais c'est fou ce qu'elles sont bonnes
Si je pouvais
J'écrirais des lignes
Pour changer tout ça
Là où les vignes couraient
Il ne reste que ruines
Et puis de la broussaille
Si un jour la terre s'ouvrait
On verrait aux racines
Qu'elles sont encore là
Et que ceux qui les entouraient
Ne sont pas loin d'ici
Et chante en cœur la la la la la
Une maison dans les vignes mangée par les racines
Noueuses comme les routes qui nous menèrent à ça
J'ai perdu mon chemin en regardant la cime
Mais je l'ai retrouvé par un heureux hasard
Tu sais j'ai de la peine pour ceux qui meurent assis
Le confort a volé le vrai bonheur aux hommes
Mais l'amour et l'ouvrage leur donnèrent asile
Et comme la mauvaise herbe, ils s'attachèrent au sol
Credits
Writer(s): Pierre-eric Garcia
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