Vienne
S'égrènent les heures de travail, sans faire ripaille
Pour souffler une pause s'impose, sinon j'explose
Mon esprit divague bientôt, un concerto
Attention accaparée, par ce cliché
Tout devient clair en ma mémoire, un défouloir
Sous le ciel gris de Vienne, les toits sont verts
Les calèches vont et viennent, joli ballet
Cliquetis qui proviennent, de ces sabots
Y vivre quoiqu'il advienne, se faire plaisir
Quant aux pluies diluviennes, les oublier
Merci aux musiciennes, quelles jolies notes
À celles qui me parviennent, bercent mon coeur
Nostalgie bohémienne, espoir perdu
Rester en forme olympienne, battre le pavé
Que quelqu'un se souvienne, de ces instants
Jolie ville autrichienne, à arpenter
Par une nuit aoûtienne, en profiter
Que quelqu'un intervienne, c'est utopique
Ces passants en conviennent, les valses sont belles
À ma vie cartésienne, la faire valser
Cette photo ancienne, est à changer
Je voudrais qu'elle devienne, récente, puissante
Il faudra qu'elle contienne, mon euphorie
Et pour que j'y parvienne, y retourner
Souvenirs qui vont et viennent, à valider
Plus rien qui me retienne, j'ai déserté
Sous le ciel gris de Vienne, les toits sont verts
Les calèches vont et viennent, joli ballet
Cliquetis qui proviennent, de ces sabots
Y vivre quoiqu'il advienne, se faire plaisir
Quant aux pluies diluviennes, les oublier
Plus rien qui me retienne, j'ai déserté
Pour souffler une pause s'impose, sinon j'explose
Mon esprit divague bientôt, un concerto
Attention accaparée, par ce cliché
Tout devient clair en ma mémoire, un défouloir
Sous le ciel gris de Vienne, les toits sont verts
Les calèches vont et viennent, joli ballet
Cliquetis qui proviennent, de ces sabots
Y vivre quoiqu'il advienne, se faire plaisir
Quant aux pluies diluviennes, les oublier
Merci aux musiciennes, quelles jolies notes
À celles qui me parviennent, bercent mon coeur
Nostalgie bohémienne, espoir perdu
Rester en forme olympienne, battre le pavé
Que quelqu'un se souvienne, de ces instants
Jolie ville autrichienne, à arpenter
Par une nuit aoûtienne, en profiter
Que quelqu'un intervienne, c'est utopique
Ces passants en conviennent, les valses sont belles
À ma vie cartésienne, la faire valser
Cette photo ancienne, est à changer
Je voudrais qu'elle devienne, récente, puissante
Il faudra qu'elle contienne, mon euphorie
Et pour que j'y parvienne, y retourner
Souvenirs qui vont et viennent, à valider
Plus rien qui me retienne, j'ai déserté
Sous le ciel gris de Vienne, les toits sont verts
Les calèches vont et viennent, joli ballet
Cliquetis qui proviennent, de ces sabots
Y vivre quoiqu'il advienne, se faire plaisir
Quant aux pluies diluviennes, les oublier
Plus rien qui me retienne, j'ai déserté
Credits
Writer(s): Olivier Michel
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