Mon Kmer
Mon Kmer ...
Terre d'accueil, ma terre mère
C'est l'encre de mon cœur qui coule en guise de prière
Tu gardes le sourire devant des souvenirs amers
Silencieuse est ta douleur et sombre est ton itinéraire
Mon Kmer...
Ils t'ont mis genoux à terre à cause des trésors qui se trouvent en dessous de ta terre
Tes prorévolutionnaires sont expédiés six pieds sous terre
Le maki, c'était l'enfer donc tu as appris à te taire
Mon Kmer...
Tes routes sont meurtrières, il y a du sang sur ton chemin de fer
Pas de goudron, peu d'actions, trop de paroles en l'air
On se fout de Dieu le Père
On veut juste plaire au R
Les impôts grimpent, les comptes en suisse se remplissent
Les hôpitaux et les écoles n'ont pas de bâtiments
Il n'y a pas d'eau, pas de lumière, mais beaucoup s'en fichent
L'amour de l'argent n'a pas de sentiments
Du fond de mon âme je viens militer pour la résurrection de ta dignité
J'en appelle à tes fils censés être tes serviteurs, mais qui sont devenus des divinités
Bamiléké, Ewondo, Bakoko, Bassa, Beti, nous sommes tous des Camerounais
Bamenda, Tiko, Douala, Bamoun, Pygmées, ne les laissez pas nous diviser
Mon Kmeeeeer, mon Kmeeeeer
Mon Kmer...
Beaucoup de tes enfants ont traversé la mer
Poussés à te fuir, car leur futur proche de toi leur semble amère
Ce n'est pas par manque d'amour
Accusés de vouloir déstabiliser le pouvoir une fois que leur désaccord voit le jour
Hospitalier comme la veuve de Sarepta
Ton étoile sur le drapeau perd de plus en plus son éclat
Dans un pâle état te laissent ceux à ta tête
T'humilient comme un gardien qui vient de subir une panenka
Afrique en miniature
Tes richesses jetées en pâture à tes bourreaux
Que Yahweh puisse soigner tes blessures
Le sang de tes enfants ne fait que couler
Peuples sacrifiés, territoires oubliés,
La guerre du Noso semble de plus en plus banale
Alors que pour beaucoup d'entre eux chaque seconde est réellement fatale
On veut te voir changer, te voir prospérer
Soyons le changement qu'en toi on veut voir s'opérer
Du fond de mon âme je viens militer pour la résurrection de ta dignité
J'en appelle à tes fils censés être tes serviteurs, mais qui sont devenus des divinités
Bamiléké, Ewondo, Bakoko, Bassa, Beti, nous sommes tous des Camerounais
Bamenda, Tiko, Douala, Bamoun, Pygmées, ne les laissons pas nous diviser
Mon Kmeeeeer, mon Kmeeeeer
Terre d'accueil, ma terre mère
C'est l'encre de mon cœur qui coule en guise de prière
Tu gardes le sourire devant des souvenirs amers
Silencieuse est ta douleur et sombre est ton itinéraire
Mon Kmer...
Ils t'ont mis genoux à terre à cause des trésors qui se trouvent en dessous de ta terre
Tes prorévolutionnaires sont expédiés six pieds sous terre
Le maki, c'était l'enfer donc tu as appris à te taire
Mon Kmer...
Tes routes sont meurtrières, il y a du sang sur ton chemin de fer
Pas de goudron, peu d'actions, trop de paroles en l'air
On se fout de Dieu le Père
On veut juste plaire au R
Les impôts grimpent, les comptes en suisse se remplissent
Les hôpitaux et les écoles n'ont pas de bâtiments
Il n'y a pas d'eau, pas de lumière, mais beaucoup s'en fichent
L'amour de l'argent n'a pas de sentiments
Du fond de mon âme je viens militer pour la résurrection de ta dignité
J'en appelle à tes fils censés être tes serviteurs, mais qui sont devenus des divinités
Bamiléké, Ewondo, Bakoko, Bassa, Beti, nous sommes tous des Camerounais
Bamenda, Tiko, Douala, Bamoun, Pygmées, ne les laissez pas nous diviser
Mon Kmeeeeer, mon Kmeeeeer
Mon Kmer...
Beaucoup de tes enfants ont traversé la mer
Poussés à te fuir, car leur futur proche de toi leur semble amère
Ce n'est pas par manque d'amour
Accusés de vouloir déstabiliser le pouvoir une fois que leur désaccord voit le jour
Hospitalier comme la veuve de Sarepta
Ton étoile sur le drapeau perd de plus en plus son éclat
Dans un pâle état te laissent ceux à ta tête
T'humilient comme un gardien qui vient de subir une panenka
Afrique en miniature
Tes richesses jetées en pâture à tes bourreaux
Que Yahweh puisse soigner tes blessures
Le sang de tes enfants ne fait que couler
Peuples sacrifiés, territoires oubliés,
La guerre du Noso semble de plus en plus banale
Alors que pour beaucoup d'entre eux chaque seconde est réellement fatale
On veut te voir changer, te voir prospérer
Soyons le changement qu'en toi on veut voir s'opérer
Du fond de mon âme je viens militer pour la résurrection de ta dignité
J'en appelle à tes fils censés être tes serviteurs, mais qui sont devenus des divinités
Bamiléké, Ewondo, Bakoko, Bassa, Beti, nous sommes tous des Camerounais
Bamenda, Tiko, Douala, Bamoun, Pygmées, ne les laissons pas nous diviser
Mon Kmeeeeer, mon Kmeeeeer
Credits
Writer(s): Patrick Joel Djoko Kuissue
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