Moyen
Cravate au cou, s'en va vers son pauvre taff
En laisse, n'empêche qu'il encaisse pas mal
La routine débile
Qui lui permet de construire à peu d'choses près toute
Sa joie
Restera mirage quand tout sera éteint
Pourquoi
Aller si mal quand tout va si bien
Pourquoi avoir les nerfs
Sensibles, en train d'craquer, car tout seul il est
Sans cesse sous pression, ses soucis
Succèdent son succès
Fuir la combustion dans les eaux
Azures
Parfait futur mais
Désespoir en soute
Supplément aucun
Au-revoir
La vie la vraie qui crie, fête et s'agite
La vue d'un rêve qui disparaît beaucoup trop vite
On en envie la vie d'après
Facile et stable plane, presque souhaitable
Mais seul sans au-delà
Il part loin enfin
Il s'envole
Son souffle revient
Il plane
Mais arrête de rêver
Ta vie
Minable
Ta réalité
T'ont cloué au sol
Si soif de vie mais la sienne
S'effrite, et
Entre ses doigts il voit son
Mérite
Regard statique duquel rien n'dépasse
Morne sourire, son plus beau masque
Cravate au cou, se balance
Seul
A fait son trou et y dort
Seul
Comme un jeune loup, libre de tout
Mais t'iras où, connard
Pas loin sans ta cravate
Il part loin enfin
Il s'envole
Son souffle revient
Il plane
Mais arrête de rêver
Ta vie
Minable
Ta réalité
T'ont cloué au sol
En laisse, n'empêche qu'il encaisse pas mal
La routine débile
Qui lui permet de construire à peu d'choses près toute
Sa joie
Restera mirage quand tout sera éteint
Pourquoi
Aller si mal quand tout va si bien
Pourquoi avoir les nerfs
Sensibles, en train d'craquer, car tout seul il est
Sans cesse sous pression, ses soucis
Succèdent son succès
Fuir la combustion dans les eaux
Azures
Parfait futur mais
Désespoir en soute
Supplément aucun
Au-revoir
La vie la vraie qui crie, fête et s'agite
La vue d'un rêve qui disparaît beaucoup trop vite
On en envie la vie d'après
Facile et stable plane, presque souhaitable
Mais seul sans au-delà
Il part loin enfin
Il s'envole
Son souffle revient
Il plane
Mais arrête de rêver
Ta vie
Minable
Ta réalité
T'ont cloué au sol
Si soif de vie mais la sienne
S'effrite, et
Entre ses doigts il voit son
Mérite
Regard statique duquel rien n'dépasse
Morne sourire, son plus beau masque
Cravate au cou, se balance
Seul
A fait son trou et y dort
Seul
Comme un jeune loup, libre de tout
Mais t'iras où, connard
Pas loin sans ta cravate
Il part loin enfin
Il s'envole
Son souffle revient
Il plane
Mais arrête de rêver
Ta vie
Minable
Ta réalité
T'ont cloué au sol
Credits
Writer(s): Nathan Charles A Kolebka, Vincent Hubert H Marissal, Basil Etienne F Spiridon, Vladimir Omer L Joassin
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