Buen Camino
Un jour j'ai pris un sac pour marcher
Suite à des années à me survoler
J'avais mal je ne savais pas pourquoi
J'étais capable d'avaler tout et n'importe quoi
Je me sentais faible, je me sentais lâche
J'avais envie de larguer mes attaches
De laisser derrière moi toute ces années
Un jour j'ai pris un sac pour marcher
De sueur en lueur chaque journées ce passé
Sur la route de moi je ne pourrais me cacher
J'avais des discussions intenses avec mon esprit
Car entre moi et lui on ne s'était pas tout dit
Mal aux pieds, mal au dos mais content d'être debout
Je ne savais pas que l'on pouvait dormir sur des cailloux
Ivresse d'une tendre fatigue accumulée
De sueur en lueur chaque journée ce passée
Un jour d'autre m'ont rejoint dans mon parcours
Une nuit ils sont venus chacun à leur tour
Puis autour du feu on a parlé
Et sans rien dire nous sommes allés nous coucher
Au petit jour on a repris la route
Pour certains je voyais qu'ils avaient des doutes
Je leur disais que s'est un allé sans détour
Bref d'autres m'ont rejoint dans mon parcours
On n'a pas peur de suer, on n'a pas peur de marcher
La chaleur et le froid ne nous font pas douter
Toujours à l'aube prêt à partir
Des meutes de perlin des durs à cuire
Travailleur libre qui l'on choisit
La route pour devenir m'a séduit
Je n'ère pas en silence, je ne suis pas un égaré
On n'a pas peur de suer, on n'a pas peur de marcher
Suite à des années à me survoler
J'avais mal je ne savais pas pourquoi
J'étais capable d'avaler tout et n'importe quoi
Je me sentais faible, je me sentais lâche
J'avais envie de larguer mes attaches
De laisser derrière moi toute ces années
Un jour j'ai pris un sac pour marcher
De sueur en lueur chaque journées ce passé
Sur la route de moi je ne pourrais me cacher
J'avais des discussions intenses avec mon esprit
Car entre moi et lui on ne s'était pas tout dit
Mal aux pieds, mal au dos mais content d'être debout
Je ne savais pas que l'on pouvait dormir sur des cailloux
Ivresse d'une tendre fatigue accumulée
De sueur en lueur chaque journée ce passée
Un jour d'autre m'ont rejoint dans mon parcours
Une nuit ils sont venus chacun à leur tour
Puis autour du feu on a parlé
Et sans rien dire nous sommes allés nous coucher
Au petit jour on a repris la route
Pour certains je voyais qu'ils avaient des doutes
Je leur disais que s'est un allé sans détour
Bref d'autres m'ont rejoint dans mon parcours
On n'a pas peur de suer, on n'a pas peur de marcher
La chaleur et le froid ne nous font pas douter
Toujours à l'aube prêt à partir
Des meutes de perlin des durs à cuire
Travailleur libre qui l'on choisit
La route pour devenir m'a séduit
Je n'ère pas en silence, je ne suis pas un égaré
On n'a pas peur de suer, on n'a pas peur de marcher
Credits
Writer(s): Jean Burckle
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