OUBLIÉ
Le studio, le pilon, le dodo (oh-oh, oh-oh)
Y a zéro machos sur le bateau (oh-oh, oh-oh)
J'avance en roue arrière, j'aime le vent de la mer (oh-oh)
Mais je regrette souvent les heures (oh-oh)
Où nous dansions sur une pente (oh-oh)
Tu m'apprenais la vie dilatante (oh-oh)
Un petit pas contre toi
Peau contre peau, dans tes bras
Mille braquages en claquement d'doigts
Je n'ai que la rime à donnеr
Pour sourire aux chiennes еt aux démons
Maintenant, mains déliées
Je croyais t'avoir oublié, dépareiller mes souvenirs
Qui partent souvent maquillés, mais ta voix aime revenir
Mais lâche même moi un billet
Ce Papi, il court dans le noir (hey)
Un jour, je t'écris ce papier pour voiler le vide à mes pieds (l'vide à mes pieds)
Pourquoi toi, comment cela?
Le quiproquo des doux lilas me laisse là
Et seul escient, le pavé sous le choc (oh-oh)
Holà, me souffle à coup de fil et coûte que coûte, le lien s'effile
Je perds mon souffle à retenir ma joie, à t'entendre me dire
Des mots d'amour sans repentir
Des mots d'amour, rire de rire
Maintenant, mains déliées
Je n'ai que la rime à donner
Pour sourire aux chiennes et aux démons
Maintenant, mains déliées
Je croyais t'avoir oublié, dépareiller mes souvenirs (dépareiller mes souvenirs)
Qui partent souvent maquillés mais ta voix aime revenir (oh-oh-oh)
Mais lâche même moi un billet
Ce papier, il court dans le noir (oh-oh)
Un jour, je t'écris ce papier pour voiler le vide à mes pieds (l'vide à mes pieds)
Y a zéro machos sur le bateau (oh-oh, oh-oh)
J'avance en roue arrière, j'aime le vent de la mer (oh-oh)
Mais je regrette souvent les heures (oh-oh)
Où nous dansions sur une pente (oh-oh)
Tu m'apprenais la vie dilatante (oh-oh)
Un petit pas contre toi
Peau contre peau, dans tes bras
Mille braquages en claquement d'doigts
Je n'ai que la rime à donnеr
Pour sourire aux chiennes еt aux démons
Maintenant, mains déliées
Je croyais t'avoir oublié, dépareiller mes souvenirs
Qui partent souvent maquillés, mais ta voix aime revenir
Mais lâche même moi un billet
Ce Papi, il court dans le noir (hey)
Un jour, je t'écris ce papier pour voiler le vide à mes pieds (l'vide à mes pieds)
Pourquoi toi, comment cela?
Le quiproquo des doux lilas me laisse là
Et seul escient, le pavé sous le choc (oh-oh)
Holà, me souffle à coup de fil et coûte que coûte, le lien s'effile
Je perds mon souffle à retenir ma joie, à t'entendre me dire
Des mots d'amour sans repentir
Des mots d'amour, rire de rire
Maintenant, mains déliées
Je n'ai que la rime à donner
Pour sourire aux chiennes et aux démons
Maintenant, mains déliées
Je croyais t'avoir oublié, dépareiller mes souvenirs (dépareiller mes souvenirs)
Qui partent souvent maquillés mais ta voix aime revenir (oh-oh-oh)
Mais lâche même moi un billet
Ce papier, il court dans le noir (oh-oh)
Un jour, je t'écris ce papier pour voiler le vide à mes pieds (l'vide à mes pieds)
Credits
Writer(s): Jean-pierre Pierre Taieb, Elia Taieb
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