Entendez (Antilav Remix)
Une salle et des murs couverts de cendre
Le prix d'avoir voulu se faire entendre
Des voix éclatent après un long silence
Sans appel, on fait tomber la sentence
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
Immense voile qui s'abat sur la ville
L'effroi la gagne, la couvre et l'habille
Le ciel se charge d'une énergie hostile
Qui bientôt dévore les combles et les fils
Dans un bruit sourd, les fondations s'effondrent
Les cris s'élèvent et se perdent dans l'ombre
Dans la fumée, des silhouettes se dessinent
Tentant de fuir la révolte divine
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
Les mains déliées, je me redresse enfin
Et me libère de mes deux assassins
Le regard noir, je les sonde sans gêne
Et sans un mot, leur adresse ma peine
Une main se pose soudain sur mon dos
Les larmes montent mais j'étouffe mes sanglots
Leurs yeux me supplient de tout arrêter
Le sol s'ébranle et chavire sous nos pieds
Les alarmes résonnent, les sirènes hurlent au dehors
La détresse se répand, donnant la parole aux morts
Le temps ralentit sa course et je perds mes repères
Mais des bras me retiennent et me tirent vers la lumière
Les alentours se figent, je m'avance vers eux
La mémoire leur revient et les pousse aux aveux
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
De la poussière vient renaître l'espoir
Moi qui n'avais jamais cessé d'y croire
Quand l'insensé devient un fait réel
Et que de nos chaînes se déploient des ailes
L'humanité à genoux se relève
Animée par l'engouement et le rêve
Expiant la ville et joignant les nations
À jamais la passion sans soumission
Le prix d'avoir voulu se faire entendre
Des voix éclatent après un long silence
Sans appel, on fait tomber la sentence
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
Immense voile qui s'abat sur la ville
L'effroi la gagne, la couvre et l'habille
Le ciel se charge d'une énergie hostile
Qui bientôt dévore les combles et les fils
Dans un bruit sourd, les fondations s'effondrent
Les cris s'élèvent et se perdent dans l'ombre
Dans la fumée, des silhouettes se dessinent
Tentant de fuir la révolte divine
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
Les mains déliées, je me redresse enfin
Et me libère de mes deux assassins
Le regard noir, je les sonde sans gêne
Et sans un mot, leur adresse ma peine
Une main se pose soudain sur mon dos
Les larmes montent mais j'étouffe mes sanglots
Leurs yeux me supplient de tout arrêter
Le sol s'ébranle et chavire sous nos pieds
Les alarmes résonnent, les sirènes hurlent au dehors
La détresse se répand, donnant la parole aux morts
Le temps ralentit sa course et je perds mes repères
Mais des bras me retiennent et me tirent vers la lumière
Les alentours se figent, je m'avance vers eux
La mémoire leur revient et les pousse aux aveux
Entendez nos voix, nos nobles combats, pour retrouver une vraie justice
Brisez vos œillères, laissez nos prières devenir notre nouvelle police
Vos lois corrompues, nos droits disparus, ne seront plus qu'un lointain souvenir
Une vie défendue pour une âme perdue, nous donneront l'envie de revivre
De la poussière vient renaître l'espoir
Moi qui n'avais jamais cessé d'y croire
Quand l'insensé devient un fait réel
Et que de nos chaînes se déploient des ailes
L'humanité à genoux se relève
Animée par l'engouement et le rêve
Expiant la ville et joignant les nations
À jamais la passion sans soumission
Credits
Writer(s): Alicia Fonteneau
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