Reykjavik
Et c'est une autre longue nuit qui commence
Exilé dans l'odeur des couloirs de ce vieil hôtel
Où les esprits anciens scellés aux murs de leur absence
Veillent sur les aiguillages des courants d'air intemporels
Et me voilà jouant sous la pleine lune à Reykjavík
Dans une parade étrange, l'allégorie sans voix
Les bars sont silencieux et les capteurs fantômes n'indiquent
Pas d'autre alternative, pas d'autre issue, pas d'autre voie
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Des enfants joyeux passent avec des sundae caramel
Parmi ces rues-vitrines où nos reflets cachent un mirage
Où des spectres obsolètes revisités par Beau Brummeil
Défilent dans un paraître inutile, morne et sans visage
Les hauts talons des femmes résonnent dans ma tête
Les hautparleurs distillent des invitations pour une fête
Mais perdu dans ces rues bercées de noires complaintes
Je me vois enfermé dans l'œil glacé d'un labyrinthe
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et c'est une autre longue, longue nuit qui commence
Toujours plonger plus bas dans le vertige de nos passions
Jusqu'à c'que l'élastique tendu au bout de la romance
Nous change en marionnette ou en petit soldat de plomb
Exilé dans l'odeur des couloirs de ce vieil hôtel
Où les esprits anciens scellés aux murs de leur absence
Veillent sur les aiguillages des courants d'air intemporels
Et me voilà jouant sous la pleine lune à Reykjavík
Dans une parade étrange, l'allégorie sans voix
Les bars sont silencieux et les capteurs fantômes n'indiquent
Pas d'autre alternative, pas d'autre issue, pas d'autre voie
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Des enfants joyeux passent avec des sundae caramel
Parmi ces rues-vitrines où nos reflets cachent un mirage
Où des spectres obsolètes revisités par Beau Brummeil
Défilent dans un paraître inutile, morne et sans visage
Les hauts talons des femmes résonnent dans ma tête
Les hautparleurs distillent des invitations pour une fête
Mais perdu dans ces rues bercées de noires complaintes
Je me vois enfermé dans l'œil glacé d'un labyrinthe
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et je suis là, je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Et c'est une autre longue, longue nuit qui commence
Toujours plonger plus bas dans le vertige de nos passions
Jusqu'à c'que l'élastique tendu au bout de la romance
Nous change en marionnette ou en petit soldat de plomb
Credits
Writer(s): Hubert Felix Thiefaine, Christopher Board, Lucas Thiefaine, Frederic Gastard
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