Triste plaine
Plaine, triste plaine
À l'horizon, s'étend le highway
Temps morose et blême
Dix mille virages, autant d'années
Le chemin est long à la saison
Du vague à l'âme et des ciels fatigués
Délire du soir en gouttes d'eau
La nuit m'enrobe dans son long châle
Insomnie dans des motels oubliés
Au fond de l'ennui
Et revient sous mon front pâle
Le rêve un peu fou
Qu'ici s'envole mon fardeau
Les oies reviennent et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Chez moi
Plaine, triste plaine
À l'horizon, s'étend le highway
Temps morose et blême
Dix mille villages, autant d'années
Le chemin est long à la saison
Du vague à l'âme et des ciels fatigués
Quand sonnera l'heure de vivre
Sans un regret, accrocher mon vieux chapeau
Moment de paix pour âme en peine
Écran plat, fil de nouvelles
Et monte une idée noire, le temps ne revient pas
La vie s'en va comme un ruisseau
Les oies s'attardent et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi Chez moi
Dans le froid, prend vie une lueur d'or
Amitiés autour d'un peu de chaleur
En ce décor assoupi face à la ville, c'est la
Plaine, triste plaine qui hante mon esprit
Les oies s'en vont et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève et si
Le jour se lève et si
Le jour se lève et si
Je rentrais chez moi
À l'horizon, s'étend le highway
Temps morose et blême
Dix mille virages, autant d'années
Le chemin est long à la saison
Du vague à l'âme et des ciels fatigués
Délire du soir en gouttes d'eau
La nuit m'enrobe dans son long châle
Insomnie dans des motels oubliés
Au fond de l'ennui
Et revient sous mon front pâle
Le rêve un peu fou
Qu'ici s'envole mon fardeau
Les oies reviennent et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Chez moi
Plaine, triste plaine
À l'horizon, s'étend le highway
Temps morose et blême
Dix mille villages, autant d'années
Le chemin est long à la saison
Du vague à l'âme et des ciels fatigués
Quand sonnera l'heure de vivre
Sans un regret, accrocher mon vieux chapeau
Moment de paix pour âme en peine
Écran plat, fil de nouvelles
Et monte une idée noire, le temps ne revient pas
La vie s'en va comme un ruisseau
Les oies s'attardent et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi
Le jour se lève aussi Chez moi
Dans le froid, prend vie une lueur d'or
Amitiés autour d'un peu de chaleur
En ce décor assoupi face à la ville, c'est la
Plaine, triste plaine qui hante mon esprit
Les oies s'en vont et leurs ailes
Soulèvent un rêve à grand bruit
Le jour se lève et si
Le jour se lève et si
Le jour se lève et si
Je rentrais chez moi
Credits
Writer(s): Guylaine Saint-pierre
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