Le Pacifique
J'ai touché la sable colombin
Vieilli de larmes et d'air salin
J'ai porté le chandail d'automne
Que tu m'as laissé au mois d'octobre
Qu'aurais-je pu faire pour te garder?
Au moins un matin m'éveiller
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrai là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Embrasse les filles, embrasse l'ouest
Loin de mes cris, de ma détresse
Tu m'oubliais à chaque seconde
Passée dans les bras d'une colombe
J'ai tant hurlé pour attraper
Un instant de sincérité
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrais là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Vieilli de larmes et d'air salin
J'ai porté le chandail d'automne
Que tu m'as laissé au mois d'octobre
Qu'aurais-je pu faire pour te garder?
Au moins un matin m'éveiller
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrai là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Embrasse les filles, embrasse l'ouest
Loin de mes cris, de ma détresse
Tu m'oubliais à chaque seconde
Passée dans les bras d'une colombe
J'ai tant hurlé pour attraper
Un instant de sincérité
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrais là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Credits
Writer(s): Beatrice Mireille Martin
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.