Durant Un Long Moment
Durant un long moment
Il reste silencieux
Sans bouger
Examine lentement
Une mèche de cheveux parfumée
Puis il dit
C'est comme ça, c'est la vie
J'vais pas en mourir
Je suis trop vieux pour ça
On doit s'attendre au pire
Ou c'est bien fait, c'est bien fait, c'est bien fait
C'est bien fait, pour moi!
S'asseyant sur le lit
Il s'oblige un regard
Sur la chambre
Il n'y a plus rien ici
Il n'y a plus que le fard
Et la cendre
Et il dit
Voilà tout est fini
Je n'avais pas tout appris
Mais sacré nom de Dieu
Faut-il aimer la vie
Ou la jeter, la jeter, la jeter, la jeter au feu
La jeter au feu
Ses yeux roulent dans le noir
Sans qu'il puisse y changer
Quelque chose
Les voies du désespoir
En pitreries se métamorphosent
Il se dit
Quelle erreur ai-je commis
Vais-je finir à genoux
Ou bien sur le tapis
Une femme vous tient debout
Puis un jour elle, un jour elle,
un jour elle, un jour elle, un jour elle
Elle vous scie
Elle vous scie
Plus tard, dans le jardin
Dans la fraîcheur du soir
Il repense
A ce qu'il aimait bien
Venant d'elle ou de par
Sa présence
Et il dit
J'en aurais bien repris
Je le dis simplement
Avec humilité
Te suis reconnaissant
Pour tout le temps, tout le temps,
tout le temps, tout le temps, tout le temps passé
Pour tout le temps passé
Pour tout le temps, tout le temps, tout le temps passé
Passé
Il reste silencieux
Sans bouger
Examine lentement
Une mèche de cheveux parfumée
Puis il dit
C'est comme ça, c'est la vie
J'vais pas en mourir
Je suis trop vieux pour ça
On doit s'attendre au pire
Ou c'est bien fait, c'est bien fait, c'est bien fait
C'est bien fait, pour moi!
S'asseyant sur le lit
Il s'oblige un regard
Sur la chambre
Il n'y a plus rien ici
Il n'y a plus que le fard
Et la cendre
Et il dit
Voilà tout est fini
Je n'avais pas tout appris
Mais sacré nom de Dieu
Faut-il aimer la vie
Ou la jeter, la jeter, la jeter, la jeter au feu
La jeter au feu
Ses yeux roulent dans le noir
Sans qu'il puisse y changer
Quelque chose
Les voies du désespoir
En pitreries se métamorphosent
Il se dit
Quelle erreur ai-je commis
Vais-je finir à genoux
Ou bien sur le tapis
Une femme vous tient debout
Puis un jour elle, un jour elle,
un jour elle, un jour elle, un jour elle
Elle vous scie
Elle vous scie
Plus tard, dans le jardin
Dans la fraîcheur du soir
Il repense
A ce qu'il aimait bien
Venant d'elle ou de par
Sa présence
Et il dit
J'en aurais bien repris
Je le dis simplement
Avec humilité
Te suis reconnaissant
Pour tout le temps, tout le temps,
tout le temps, tout le temps, tout le temps passé
Pour tout le temps passé
Pour tout le temps, tout le temps, tout le temps passé
Passé
Credits
Writer(s): Stephan Jakob Eicher, Philippe Rene Djian
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