Trêve
Trêve d'élans trêve d'émois
Repos d'un corps qui bat plus bas
Je me suis résolue à quoi
Je ne sais pas
Je me balade dans ma tête sans trop trouver grand-chose
J'essaie de couvrir mes rêves de voiles sans ecchymose
Je me balade sur la côte je regarde ceux qui volent
Ceux qui surplombent la mer étreignent des yeux le sol
Comme si rien n'avait de prise sur leurs libres envols
Je me balade tous les jours quelques fois sans bouger
J'essaie de ne pas penser j'essaie de ne pas pleurer
Et il y a même des cours qui me font rigoler
Jusqu'à l'instant qui sert ma poitrine d'étrangère
Je n'ai aucune idée de l'endroit où je vais
S'il y avait là-bas un tout petit peu de paix
Je serais tant soulagée peut-être même que je rirais
Ou bien que je saurais quoi faire pour survivre aux adieux
Qui ponctuent ma mémoire de cratères un peu vieux
J'aimerais bien me balader avec un corps allié
Une voix qui me préfère une peau à embrasser
J'aimerais trouver ses lèvres et faire bouillir le ciel
De la chambre au fond de moi aujourd'hui pleine de sel
J'attends je n'attends pas
J'avance je n'avance pas
Je pousse mais je ne connais pas encore
Les couleurs que prendront les vertiges de mon sort
Il y aura bien un jour où j'aurai une idée
De pourquoi je préfère les regrets
Aux remords
Et de combien de batailles on doit gagner à mort
Pour pouvoir espérer un peu de silence
Et des transports immenses
Et comme tout me bouleverse j'y arriverais sûrement
Parce que finalement on n'est jamais
Si bien accompagnée que par ses sentiments
Repos d'un corps qui bat plus bas
Je me suis résolue à quoi
Je ne sais pas
Je me balade dans ma tête sans trop trouver grand-chose
J'essaie de couvrir mes rêves de voiles sans ecchymose
Je me balade sur la côte je regarde ceux qui volent
Ceux qui surplombent la mer étreignent des yeux le sol
Comme si rien n'avait de prise sur leurs libres envols
Je me balade tous les jours quelques fois sans bouger
J'essaie de ne pas penser j'essaie de ne pas pleurer
Et il y a même des cours qui me font rigoler
Jusqu'à l'instant qui sert ma poitrine d'étrangère
Je n'ai aucune idée de l'endroit où je vais
S'il y avait là-bas un tout petit peu de paix
Je serais tant soulagée peut-être même que je rirais
Ou bien que je saurais quoi faire pour survivre aux adieux
Qui ponctuent ma mémoire de cratères un peu vieux
J'aimerais bien me balader avec un corps allié
Une voix qui me préfère une peau à embrasser
J'aimerais trouver ses lèvres et faire bouillir le ciel
De la chambre au fond de moi aujourd'hui pleine de sel
J'attends je n'attends pas
J'avance je n'avance pas
Je pousse mais je ne connais pas encore
Les couleurs que prendront les vertiges de mon sort
Il y aura bien un jour où j'aurai une idée
De pourquoi je préfère les regrets
Aux remords
Et de combien de batailles on doit gagner à mort
Pour pouvoir espérer un peu de silence
Et des transports immenses
Et comme tout me bouleverse j'y arriverais sûrement
Parce que finalement on n'est jamais
Si bien accompagnée que par ses sentiments
Credits
Writer(s): Caroline Morlat Mialaret, Vincent Brongniart
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.