Réveillez-moi
trois semaines ou presque cherchant l'artifice
sans mes larmes, je n'sens pas mon visage
à forcer d'enterrer tous mes dérapages
le coeur me lève jusqu'à c'que je m'endorme
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
alors que les heures m'approchent de minuit
mon quartier prend mon coeur en otage
j'ai toujours étouffé mes réminiscences
depuis tout jeune je mendie à l'amour
à en perdre la tête
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
il ne me reste plus rien
ces faux amis ignorent qu'ils ne me laissent que des miettes
et je la laisse partir
cette illusion des autres qui m'assomme
et chaque fois me fait crouler au sol
pris dans cette camisole contre moi-même
je me laisse tomber et m'isole
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
laissez-moi
arrêtez-moi
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
sans mes larmes, je n'sens pas mon visage
à forcer d'enterrer tous mes dérapages
le coeur me lève jusqu'à c'que je m'endorme
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
alors que les heures m'approchent de minuit
mon quartier prend mon coeur en otage
j'ai toujours étouffé mes réminiscences
depuis tout jeune je mendie à l'amour
à en perdre la tête
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
il ne me reste plus rien
ces faux amis ignorent qu'ils ne me laissent que des miettes
et je la laisse partir
cette illusion des autres qui m'assomme
et chaque fois me fait crouler au sol
pris dans cette camisole contre moi-même
je me laisse tomber et m'isole
laissez-moi quelque part
ma voix n'a plus d'échos
arrêtez-moi si mon phare se rallume et m'aveugle
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
laissez-moi
arrêtez-moi
dites-moi si j'ai tord de n'voir que le chaos
réveillez-moi si je dors sur le toit de l'immeuble
sous mes vieux manteaux
Credits
Writer(s): Dany-alexandre Ménard
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