Poésie nwar (Interlude)
Moi, je voulais faire du rap pour rendre fier mes proches
J'écrivais toute la night au détriment de l'école
Dans ça je me sens si bien, y'a que les mots qui me consolent
Je calculais plus personne, je me noyais dans mes textes
Si on me posait des questions, j'inventais des prétextes
Ma vie est faite ainsi: parfois la chance m'ignore, parfois elle me sourit
Tu sais, en vrai j'ai peur au fond de moi
Car on ne saura jamais de quoi sera fait nos lendemains
J'ai la main sur le cœur ou le cœur sur la main
Tellement de flow, t'as l'impression que je reviens de Namek
Tu sais, en vrai j'ai peur au fond de moi
Car on ne saura jamais de quoi sera fait nos lendemains
J'ai la main sur le cœur ou le cœur sur la main
Tellement de flow, t'as l'impression que je reviens de Namek
Noyé dans mes pensées vagues, je pense à ma mère
Je serai à Big Ben le jour où sonnera mon heure
Et puis, qui sait? Peut être que cette chanson sera la dernière
Et pour moi un terrain et des potes, en vrai, c'est ça le vrai bonheur
J'écris, je rappe, je fais des scènes mais ils ne m'entendent pas
Lyricalement, le 1er vers est un attentat
Moi, si je pouvais, dans mes chansons je mettrais des tam-tam
Et j'ai tellement la plume facile que je pourrais même rapper sans thème (thème)
J'écrivais toute la night au détriment de l'école
Dans ça je me sens si bien, y'a que les mots qui me consolent
Je calculais plus personne, je me noyais dans mes textes
Si on me posait des questions, j'inventais des prétextes
Ma vie est faite ainsi: parfois la chance m'ignore, parfois elle me sourit
Tu sais, en vrai j'ai peur au fond de moi
Car on ne saura jamais de quoi sera fait nos lendemains
J'ai la main sur le cœur ou le cœur sur la main
Tellement de flow, t'as l'impression que je reviens de Namek
Tu sais, en vrai j'ai peur au fond de moi
Car on ne saura jamais de quoi sera fait nos lendemains
J'ai la main sur le cœur ou le cœur sur la main
Tellement de flow, t'as l'impression que je reviens de Namek
Noyé dans mes pensées vagues, je pense à ma mère
Je serai à Big Ben le jour où sonnera mon heure
Et puis, qui sait? Peut être que cette chanson sera la dernière
Et pour moi un terrain et des potes, en vrai, c'est ça le vrai bonheur
J'écris, je rappe, je fais des scènes mais ils ne m'entendent pas
Lyricalement, le 1er vers est un attentat
Moi, si je pouvais, dans mes chansons je mettrais des tam-tam
Et j'ai tellement la plume facile que je pourrais même rapper sans thème (thème)
Credits
Writer(s): Manuel Minang Fils
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