Des balivernes
Nous sommes déjà demain, et moi j'regrette la veille
Car l'démon est témoin, lui il m'démange des mains
Écrivant encore c'texte, en sortant de ma veille
Oubliant le contexte, de l'Œdipe à l'œdème
Que je sors de ma tête ou qu'j'fasse une radio
Dans un Odéon, j'entends audios
de gens odieux parfois envieux
Et maintenant je me demande: "suis-je modéré?"
J'ai mes idées comme la légende de Madara
C'est le Niagara, de la pommette à la fossette
Jamais honnête, plusieurs facettes
Et chacune d'elle, elle me tient tête
Je m'oubliais, je m'effaçais Comme une partie de l'Atari
Comme un dessin d'une Odyssée Je m'adossai à l'Odessa
_Difficile d'ignorer ça, De rester simple, de rester calme
De rester sain, de rester là, devenir craint devenir grave
Mais jamais loin, des marécages J'en suis l'témoin, de mon étage
Il faut se vaincre, devenir brave
Tu m'as perdu dans l'ivresse
Quand j'construit mon univers
Ouais ouais, j'dois les satisfaire
Non, non, c'est des balivernes
Ouais ouais, j'tourne la manivelle
Non non, laisse moi j'hiberne
Les couleurs sont passionnelles et les douleurs sont parcellaires
Cœurs fragiles comme porcelaine de ces gamins trop harcelés
Échappant à la lumière comme le ferait un perce-oreille
Le trajet est personnel, l'âme est un appart scellé
Ils s'protègent comme pare-soleil jusqu'à entendre la porte sonnée
Que viser à part l'sommet quand désormais la peur se lève
De façon intentionnelle, il faut l'avoir sous sa semelle
De façon proportionnelle __ ça s'travaille tout'la semaine
Le temps la force d'la jeunesse, j'apprécie d'voir la genèse
Partir de soi, c'est le début, puisque le Rhône puise à Genève
Puisque la route mène à Rome, j'veux pas qu'ma vie ait le même arôme
Le même arôme toute sa durée
Aussi courte qu'elles mettent leurs robes
Je n'aime pas téléphoner, j'préférais qu'on m'défenestre
Je sais qu'j'ai mes défauts mais j'suis en train d'les déformer
Comme il le fait sur le nez, j'suis le sosie de De Funès
Et si mes efforts sont brefs, aussi vite partent en fumée
Tu m'as perdu dans l'ivresse
Quand j'construit mon univers
Ouais ouais, j'dois les satisfaire
Non, non, c'est des balivernes
Ouais ouais, j'tourne la manivelle
Non non, laisse moi j'hiberne
Car l'démon est témoin, lui il m'démange des mains
Écrivant encore c'texte, en sortant de ma veille
Oubliant le contexte, de l'Œdipe à l'œdème
Que je sors de ma tête ou qu'j'fasse une radio
Dans un Odéon, j'entends audios
de gens odieux parfois envieux
Et maintenant je me demande: "suis-je modéré?"
J'ai mes idées comme la légende de Madara
C'est le Niagara, de la pommette à la fossette
Jamais honnête, plusieurs facettes
Et chacune d'elle, elle me tient tête
Je m'oubliais, je m'effaçais Comme une partie de l'Atari
Comme un dessin d'une Odyssée Je m'adossai à l'Odessa
_Difficile d'ignorer ça, De rester simple, de rester calme
De rester sain, de rester là, devenir craint devenir grave
Mais jamais loin, des marécages J'en suis l'témoin, de mon étage
Il faut se vaincre, devenir brave
Tu m'as perdu dans l'ivresse
Quand j'construit mon univers
Ouais ouais, j'dois les satisfaire
Non, non, c'est des balivernes
Ouais ouais, j'tourne la manivelle
Non non, laisse moi j'hiberne
Les couleurs sont passionnelles et les douleurs sont parcellaires
Cœurs fragiles comme porcelaine de ces gamins trop harcelés
Échappant à la lumière comme le ferait un perce-oreille
Le trajet est personnel, l'âme est un appart scellé
Ils s'protègent comme pare-soleil jusqu'à entendre la porte sonnée
Que viser à part l'sommet quand désormais la peur se lève
De façon intentionnelle, il faut l'avoir sous sa semelle
De façon proportionnelle __ ça s'travaille tout'la semaine
Le temps la force d'la jeunesse, j'apprécie d'voir la genèse
Partir de soi, c'est le début, puisque le Rhône puise à Genève
Puisque la route mène à Rome, j'veux pas qu'ma vie ait le même arôme
Le même arôme toute sa durée
Aussi courte qu'elles mettent leurs robes
Je n'aime pas téléphoner, j'préférais qu'on m'défenestre
Je sais qu'j'ai mes défauts mais j'suis en train d'les déformer
Comme il le fait sur le nez, j'suis le sosie de De Funès
Et si mes efforts sont brefs, aussi vite partent en fumée
Tu m'as perdu dans l'ivresse
Quand j'construit mon univers
Ouais ouais, j'dois les satisfaire
Non, non, c'est des balivernes
Ouais ouais, j'tourne la manivelle
Non non, laisse moi j'hiberne
Credits
Writer(s): Cyprien Rauch
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