Pour Ne Pas Parler De Lui
Pour ne pas parler de lui, je vais parler du vent.
Et si c'était qu'un souffle, ça serait pas marrant.
Pour ne pas parler de lui je vais parler du vent.
J'ai l'image d'un voile au ralenti,
toujours en mouvement, sans appui.
Et de toute façon le vent, il est jamais constant.
C'est le plus troublant avec lui.
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Est-ce qu'il me donne à vivre un peu plus le temps qui passe?
Est-ce qu'il me fait sentir la puissance de la vague?
Que parfois c'est moins une avant que l'arbre casse.
Toujours à se glisser où ça fuit,
toujours à te glacer au corps,
toujours à te porter quand tu cours,
toujours à te pousser dans le vide.
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de...
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Pour ne pas parler de lui, je vais parler du vent.
Et si c'était qu'un souffle, ça serait pas marrant.
Et si c'était qu'un souffle, ça serait pas marrant.
Pour ne pas parler de lui je vais parler du vent.
J'ai l'image d'un voile au ralenti,
toujours en mouvement, sans appui.
Et de toute façon le vent, il est jamais constant.
C'est le plus troublant avec lui.
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Est-ce qu'il me donne à vivre un peu plus le temps qui passe?
Est-ce qu'il me fait sentir la puissance de la vague?
Que parfois c'est moins une avant que l'arbre casse.
Toujours à se glisser où ça fuit,
toujours à te glacer au corps,
toujours à te porter quand tu cours,
toujours à te pousser dans le vide.
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de...
Quand je parle de son visage, j'ai les mots qui prennent le large.
Quand on me demande si je suis heureuse,
je sais plus où poser les yeux.
Quand je regarde son image, j'imagine juste un collage.
Non c'est rien de précieux, rien de précis.
Pour ne pas parler de lui, je vais parler du vent.
Et si c'était qu'un souffle, ça serait pas marrant.
Credits
Writer(s): Clement Bazin, Louise Calzada
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