Ca flingue
J'ai essayé d'stopper la clope, j'ai fumé deux fois plus de shit
Alors, j'ai continué l'alcool pour pas tomber dans un autre vice
Bienvenue dans les années folles, du son en hall qui pue la pisse
T'es arrivée, tu faisais la conne, maintenant, qu't'es là-bas, on t'la glisse
Arrête de m'appeler mon petit, t'es pas mon père, j'suis pas ton fils
J'avance avec mes burnes, mes pétasses et mes complices
Tout s'est déroulé devant moi une schneck, t'as mis une gifle
Le MC chevelu s'en est arraché les tifs
Alors allez vous faire mettre et nous casser pas les couilles
Y aura peut-être une trêve quand j'aurais brassé vla les sous, ay
J'rappe et casse des couleurs, rat des sales égouts
Petit Guiz' a bien grandi depuis qu'il est passé par l'écrou
Toi, tu crois qu'c'est cool mais tu t'es trompé, stup' et fonce-dé
Pour une gaffe à la con, tu t'fais gonflé ou même plombé
Allez stop, j'en assez dit, motherfuck, ils font qu'des flops
Parlent de glocks et jouent les boss devant les ASSEDIC
On té-cla trop d'splifs, des dégâts nocifs, à l'heure où j'écris
Le doc opère mon père adoptif, j'ai besoin de prendre l'air, un peu
Quand je test un, deux, j'pense à Ulysse qui nous a laissé ici
Et je vois qu'y a pas meilleur alors j'm'autoproclame
Y a qu'des tas d'players avec des flows d'ocas', ils ont des beaux costards
Dans leurs rêves, signent des autographes, mais en vrai, ils sont qu'des merdes
Voilà pourquoi mes potos craquent, venez
Là où ça kick pour de vrai, snife pour le tieks
Petits troubles fêtes qui fument du shit pour se bercer, ça devient dard de graille
Étant petit, le seul poids qu'j'avais sur les épaules, c'était celui de mon sac de classe
J'avais pas les yeux éclatés, l'foie dans un sale état
À jeun, j'pouvais gratter, aujourd'hui, c'est pas l'même gars
Depuis que j'vends plus d'te-shit, j'en bédave deux fois plus
Contrôlé contre le mur, là, c'est les bleus qu'j'accuse
J'croyais qu'c'était des loups, mais en fait, c'est des porcs, des putes
Bon qu'à poster des photos d'moi en mode sport-études
C'était la belle vie, j'avais un avenir certain
Pendant qu'tu représentes un quartier, on n'sait même pas si c'est le tien
Ouzou
Alors, j'ai continué l'alcool pour pas tomber dans un autre vice
Bienvenue dans les années folles, du son en hall qui pue la pisse
T'es arrivée, tu faisais la conne, maintenant, qu't'es là-bas, on t'la glisse
Arrête de m'appeler mon petit, t'es pas mon père, j'suis pas ton fils
J'avance avec mes burnes, mes pétasses et mes complices
Tout s'est déroulé devant moi une schneck, t'as mis une gifle
Le MC chevelu s'en est arraché les tifs
Alors allez vous faire mettre et nous casser pas les couilles
Y aura peut-être une trêve quand j'aurais brassé vla les sous, ay
J'rappe et casse des couleurs, rat des sales égouts
Petit Guiz' a bien grandi depuis qu'il est passé par l'écrou
Toi, tu crois qu'c'est cool mais tu t'es trompé, stup' et fonce-dé
Pour une gaffe à la con, tu t'fais gonflé ou même plombé
Allez stop, j'en assez dit, motherfuck, ils font qu'des flops
Parlent de glocks et jouent les boss devant les ASSEDIC
On té-cla trop d'splifs, des dégâts nocifs, à l'heure où j'écris
Le doc opère mon père adoptif, j'ai besoin de prendre l'air, un peu
Quand je test un, deux, j'pense à Ulysse qui nous a laissé ici
Et je vois qu'y a pas meilleur alors j'm'autoproclame
Y a qu'des tas d'players avec des flows d'ocas', ils ont des beaux costards
Dans leurs rêves, signent des autographes, mais en vrai, ils sont qu'des merdes
Voilà pourquoi mes potos craquent, venez
Là où ça kick pour de vrai, snife pour le tieks
Petits troubles fêtes qui fument du shit pour se bercer, ça devient dard de graille
Étant petit, le seul poids qu'j'avais sur les épaules, c'était celui de mon sac de classe
J'avais pas les yeux éclatés, l'foie dans un sale état
À jeun, j'pouvais gratter, aujourd'hui, c'est pas l'même gars
Depuis que j'vends plus d'te-shit, j'en bédave deux fois plus
Contrôlé contre le mur, là, c'est les bleus qu'j'accuse
J'croyais qu'c'était des loups, mais en fait, c'est des porcs, des putes
Bon qu'à poster des photos d'moi en mode sport-études
C'était la belle vie, j'avais un avenir certain
Pendant qu'tu représentes un quartier, on n'sait même pas si c'est le tien
Ouzou
Credits
Writer(s): Crizus Miller, Lamine Rasoarivelo Diakité
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