Plus j'avance

Plus j'avance et plus
Mes vices me tirent vers le bas
Hier je n'y pensais plus
Trop
Obnubilé par demain

Etudes comme seule sécu'
Je me fais chier y a pas débat
Je veux tout le gâteau je vais pendre des parts
Je le sais pourtant je suis pas devin

Mais je le répète encore
Encore
Encore et encore
Pour plus douter j'éclaire mon sort
Je le répète encore
Encore
Encore et encore
Peut être que le Sheitan est plus fort

Que toi
Que moi
Que nous et les autres
Pourtant on s'était dit que c'était nous contre les autres
A deux doigts de tout baiser comme de baisser les bras
Tout dépend jusqu'à combien je décompte mes fautes

Pas faute de m'avoir dit plus tôt
Qu'on est bien qu'en l'absence de souffrance
Qu'à l'époque où je dessinais Pluto
Le bonheur était dans l'insouciance

Tellement demandé pardon
Aujourd'hui j'en ai perdu ma confiance
A Monnet perdu sur le parvis
Je tournais le dos à mon innocence

Grosse barre sur le plavon, garçon
Si tu veux t'intégrer
Roule un gros niakson, sans pression
Pour bien mieux t'aérer

Au début c'est festif à plusieurs, simples consommateurs
Puis addictif et trompeur, on consomme à deux
Pour finir en splif, seul, piètre amateur
Dealer passif, en deus' deus', qui cède à la peur

Je le répète encore
Encore
Encore et encore
Pour plus douter j'éclaire mon sort
Je le répète encore
Encore
Encore et encore
Peut être que le Sheitan est plus fort

Que toi
Que moi
Que nous et les autres
Pourtant on s'était dit que c'était nous contre les autres
A deux doigts de tout baiser comme de baisser les bras
Tout dépend jusqu'à combien je décompte mes fautes

Plus j'avance et plus
Mes vices me tirent vers le bas
Hier je n'y pensais plus
Trop
Obnubilé par demain

Etudes comme seule sécu'
Je me fais chier y a pas débat
Je veux tout le gâteau je vais pendre des parts
Je le sais pourtant je suis pas devin

Mais je le répète encore
Encore
Encore et encore
Pour plus douter j'éclaire mon sort
Je le répète encore
Encore
Encore et encore
Peut être que le Sheitan est plus fort

Que toi
Que moi
Que nous et les autres
Pourtant on s'était dit que c'était nous contre les autres
A deux doigts de tout baiser comme de baisser les bras
Tout dépend jusqu'à combien je décompte mes fautes

J'ai écrit sans une seconde croire à la gloire
Très loin de vouloir exposer ma prose
Mais pour vider mes pensées
Et mon cœur à l'agonie
Lâcher les remords d'un pauvre type accro à sa dose

Les bonnes excuses
Je n'cesse d'en avoir
Pour calmer mes démons
Cacher mes névroses
J'ai beau vouloir stopper mes conneries
Tous mes arrêts
Ne sont en fait
Que des pauses...



Credits
Writer(s): Paul Buisson
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