Pas d'inquiétude
La chaleur de l'après-midi de juillet
Dure depuis maintenant une année
Fait trembler le nouveau né
Fait fondre ses bijoux argentés
Pour comprendre qu'il faut frapper le premier
Car personne n'est là pour te protéger
Pourtant on t'a dit le contraire alors tu persistes
Les professeurs t'ont parlé de ton destin
Qu'il est dangereux d'être clandestin
Te promettent de l'or et un festin
Contre ton temps qu'on dénigre
Gaspille en vain
Le sablier laisse tomber ses derniers grains
Tu ne connais pas le chemin
Pour arriver à tes fins
Au sein de cet ignoble jeu de piste
L'humanité demande la justice
Pour une cause sans coupable
Pas de supplice
Pour une liberté déguisé, corruptrice
Où les poignards se cachent puis resurgissent
Où les tombes sont creusées par les préjudices
La roulette russe est truquée et séductrice
Et distribue les tickets de la mascarade
À laquelle tu assistes
Et tu dois jouer le jeu
Et respecter les règles
Au gré des impasses
Encerclé par une vision d'aigle
Mais pas d'inquiétude
Je suis juste pessimiste
Tandis que la religion baisse son étendard
Une nouvelle vie sur l'écran comme rempart
Rien n'est réel, les meurtres commis au hasard
Sont sans conséquences, un exutoire
L'identité se plaît dans la phobie du désespoir
Pendant qu'ils lézardent sur un perchoir
Pour voir la tragédie humaine
Et s'endormir avant l'entracte
Les images sont radicales et les infos fusent
Aussi mensongers qu'une bonne excuse
Aussi furtive qu'une balle que l'on use
Et tu ne sais pas où regarder tu te refuses
À donner ton avis dans la brume
De marcher dans la ruse
Et maintenant ils t'accusent
De ne pas bouger tu abuses
Et ils veulent te faire payer la dette qu'ils contractent
Les marginaux catégorisés, critiqués librement
Ne travaillent pas dans les plis de la société pendant
Que certains se tuent alors qu'il ont du temps
Pour ne plus être jaloux, ni innocent
Idolâtrant la mort nerveusement
Rappelant qu'ils ne sont pas les figurants d'un roman
Dans lequel leur sang ne sert
Qu'à signer un pacte
Et les tourbillons éjectent ceux
Qui n'ont rien sacrifié
Pour se rapprocher du centre
Au dépend de leur liberté
Mais pas d'inquiétude
Même si les actes n'ont pas d'impact
La morale d'un autre millénaire
Ne supporte pas les relations impaires
Le quinquagénaire aux grandes mains délétères
Étouffe celui qui décide de changer d'air
D'état d'esprit, de corps en un éclair
Tandis qu'on s'offusque de ce qui n'est pas binaire
Mais il ne voit pas la limite qu'il s'impose à lui-même
Aujourd'hui tu es l'élu
À te faire détrousser dans la rue
Ta vie résumée dans un miroir disparu
Te reflète que tu fais partie des intrus
À connaître le salut, épargné par la massue
Tu te sens planer et plains le voleur foutu
Qui va devoir se mettre nu
Pour dire amen à un totem
Ce qui rend dingue est pris en chasse
Une course de rat dont on se lasse
Les évidences rassurantes en surface, hélas
Mettent le rêveur dans la peau du nain en échasse
Le cercle est dure à briser, la mémoire s'efface
Mieux vaut un carré d'as car il n'y a pas de place
Ou que tu déplaces hors du cadre et des barèmes
Serions-nous tous au même niveau à la fin
Si personne n'avait peur
De se jeter dans un ravin
Mais pas d'inquiétude
La vie n'est qu'un dilemme pas de problème
Dure depuis maintenant une année
Fait trembler le nouveau né
Fait fondre ses bijoux argentés
Pour comprendre qu'il faut frapper le premier
Car personne n'est là pour te protéger
Pourtant on t'a dit le contraire alors tu persistes
Les professeurs t'ont parlé de ton destin
Qu'il est dangereux d'être clandestin
Te promettent de l'or et un festin
Contre ton temps qu'on dénigre
Gaspille en vain
Le sablier laisse tomber ses derniers grains
Tu ne connais pas le chemin
Pour arriver à tes fins
Au sein de cet ignoble jeu de piste
L'humanité demande la justice
Pour une cause sans coupable
Pas de supplice
Pour une liberté déguisé, corruptrice
Où les poignards se cachent puis resurgissent
Où les tombes sont creusées par les préjudices
La roulette russe est truquée et séductrice
Et distribue les tickets de la mascarade
À laquelle tu assistes
Et tu dois jouer le jeu
Et respecter les règles
Au gré des impasses
Encerclé par une vision d'aigle
Mais pas d'inquiétude
Je suis juste pessimiste
Tandis que la religion baisse son étendard
Une nouvelle vie sur l'écran comme rempart
Rien n'est réel, les meurtres commis au hasard
Sont sans conséquences, un exutoire
L'identité se plaît dans la phobie du désespoir
Pendant qu'ils lézardent sur un perchoir
Pour voir la tragédie humaine
Et s'endormir avant l'entracte
Les images sont radicales et les infos fusent
Aussi mensongers qu'une bonne excuse
Aussi furtive qu'une balle que l'on use
Et tu ne sais pas où regarder tu te refuses
À donner ton avis dans la brume
De marcher dans la ruse
Et maintenant ils t'accusent
De ne pas bouger tu abuses
Et ils veulent te faire payer la dette qu'ils contractent
Les marginaux catégorisés, critiqués librement
Ne travaillent pas dans les plis de la société pendant
Que certains se tuent alors qu'il ont du temps
Pour ne plus être jaloux, ni innocent
Idolâtrant la mort nerveusement
Rappelant qu'ils ne sont pas les figurants d'un roman
Dans lequel leur sang ne sert
Qu'à signer un pacte
Et les tourbillons éjectent ceux
Qui n'ont rien sacrifié
Pour se rapprocher du centre
Au dépend de leur liberté
Mais pas d'inquiétude
Même si les actes n'ont pas d'impact
La morale d'un autre millénaire
Ne supporte pas les relations impaires
Le quinquagénaire aux grandes mains délétères
Étouffe celui qui décide de changer d'air
D'état d'esprit, de corps en un éclair
Tandis qu'on s'offusque de ce qui n'est pas binaire
Mais il ne voit pas la limite qu'il s'impose à lui-même
Aujourd'hui tu es l'élu
À te faire détrousser dans la rue
Ta vie résumée dans un miroir disparu
Te reflète que tu fais partie des intrus
À connaître le salut, épargné par la massue
Tu te sens planer et plains le voleur foutu
Qui va devoir se mettre nu
Pour dire amen à un totem
Ce qui rend dingue est pris en chasse
Une course de rat dont on se lasse
Les évidences rassurantes en surface, hélas
Mettent le rêveur dans la peau du nain en échasse
Le cercle est dure à briser, la mémoire s'efface
Mieux vaut un carré d'as car il n'y a pas de place
Ou que tu déplaces hors du cadre et des barèmes
Serions-nous tous au même niveau à la fin
Si personne n'avait peur
De se jeter dans un ravin
Mais pas d'inquiétude
La vie n'est qu'un dilemme pas de problème
Credits
Writer(s): Théo Rulin
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