Les roses blanches
Je t'aime en rimes embrassées, nos corps enlacés,
Jamais lassés, oubliant le passé, tout le reste effacé
L'avenir à nous de le tracer
S'en va la douleur
Quand à l'église résonnent les cloches
Quand à l'église résonnent les cœurs
Leurs noms à jamais gravés dans la roche
Je t'aime comme le printemps
Arrivant après le rude hiver
Les bourgeons renaissant sur les branches
Tel un nouveau chapitre ouvert
Ainsi naissent les roses blanches que je t'offre avec cœur et esprit
Telle est la revanche que j'apporte à tes délires aujourd'hui
C'est toi la flamme ardente qui toujours dans mes yeux luit
Tu es le flambeau qui éclaire mes nuits
Ton souffle sur ma nuque
Telle la brise sur l'arbre caduc
Rythmé aux battements de ton cœur
Oubliant de compter les heures
Rester assis là, à te regarder dormir
Contempler ton visage, admirer ton sourire m'éblouir
Et me dire
Que c'est toi la flamme ardente qui toujours dans mes yeux luit
Tu es le flambeau qui éclaire mes nuits
Peut-être que tu trouveras ça con ou dérisoire
Tu trouveras aussi ça un peu couillon ou illusoire
T'auras certainement raison, mais au moins j'aurai tenté
Car quand on a l'inspiration c'est dommage de s'arrêter
Malgré tout, le message reste le même
Je t'aime
Jamais lassés, oubliant le passé, tout le reste effacé
L'avenir à nous de le tracer
S'en va la douleur
Quand à l'église résonnent les cloches
Quand à l'église résonnent les cœurs
Leurs noms à jamais gravés dans la roche
Je t'aime comme le printemps
Arrivant après le rude hiver
Les bourgeons renaissant sur les branches
Tel un nouveau chapitre ouvert
Ainsi naissent les roses blanches que je t'offre avec cœur et esprit
Telle est la revanche que j'apporte à tes délires aujourd'hui
C'est toi la flamme ardente qui toujours dans mes yeux luit
Tu es le flambeau qui éclaire mes nuits
Ton souffle sur ma nuque
Telle la brise sur l'arbre caduc
Rythmé aux battements de ton cœur
Oubliant de compter les heures
Rester assis là, à te regarder dormir
Contempler ton visage, admirer ton sourire m'éblouir
Et me dire
Que c'est toi la flamme ardente qui toujours dans mes yeux luit
Tu es le flambeau qui éclaire mes nuits
Peut-être que tu trouveras ça con ou dérisoire
Tu trouveras aussi ça un peu couillon ou illusoire
T'auras certainement raison, mais au moins j'aurai tenté
Car quand on a l'inspiration c'est dommage de s'arrêter
Malgré tout, le message reste le même
Je t'aime
Credits
Writer(s): Mathis Poulin
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