J'aurai ta peau
Paroles: Marie-Jo Zarb – Musique: George Perris
C'est pas toujours facile
De faire le dernier pas
De savoir couper les fils
Et puis refermer ses bras
Car même la pluie d'avril
Jamais n'effacera
Ces mots inscrits dans mon livre
Juste deux mots qui parlent de toi
Mais quand la vie se décide
À faire des sacrifices
L'amour devient notre bourreau
Et le cœur y laisse sa peau
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Les sauver de ce combat
Il faut garder le plus beau
Quand l'indifférence prend ses droits
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Ceux qu'on dit la première fois
Il faut garder en écho
Seuls les frissons de ces mots là
C'est pas toujours utile
Mais va savoir pourquoi
Nos cris sont tellement vils
Quand la passion ferme ses bras
Attention c'est fragile
Léger comme de la soie
Je veux mettre en exil
Cette haine qui n'est pas moi
Mais quand la vie se décide
À faire des sacrifices
L'amour devient notre bourreau
Et le cœur y laisse sa peau
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Les sauver de ce combat
Il faut garder le plus beau
Quand l'indifférence prend ses droits
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Ceux qu'on dit la première fois
Il faut garder en écho
Seuls les frissons de ces mots-là
C'est pas toujours facile
De faire le dernier pas
De savoir couper les fils
Et puis refermer ses bras
Car même la pluie d'avril
Jamais n'effacera
Ces mots inscrits dans mon livre
Juste deux mots qui parlent de toi
Mais quand la vie se décide
À faire des sacrifices
L'amour devient notre bourreau
Et le cœur y laisse sa peau
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Les sauver de ce combat
Il faut garder le plus beau
Quand l'indifférence prend ses droits
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Ceux qu'on dit la première fois
Il faut garder en écho
Seuls les frissons de ces mots là
C'est pas toujours utile
Mais va savoir pourquoi
Nos cris sont tellement vils
Quand la passion ferme ses bras
Attention c'est fragile
Léger comme de la soie
Je veux mettre en exil
Cette haine qui n'est pas moi
Mais quand la vie se décide
À faire des sacrifices
L'amour devient notre bourreau
Et le cœur y laisse sa peau
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Les sauver de ce combat
Il faut garder le plus beau
Quand l'indifférence prend ses droits
Il faut garder ces deux mots
Ces deux mots
Ceux qu'on dit la première fois
Il faut garder en écho
Seuls les frissons de ces mots-là
Credits
Writer(s): Frederick William Baron, Vincenzo Thoma
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