Demain tout commence.
J'reviens d'une soirée, c'est la plume qui vient fixer la fête
J'ai trop tisé pour éloigner l'angoisse qui s'empare de ma tête
Personne veut savoir qui je suis derrière tous mes sourires
J'avais mon père mais le sens de cette vie
Maintenant n'est qu'un souvenir
J'parle de toi tous les jours et j'continue comment?
J'vois tout en noir, hier n'est plus à moi, demain tout commence
J'enseigne dans un corps en fusion car l'esprit s'évapore
Comment j'peux rencontrer l'amour?
Tous mes projets sont bloqués par mes peurs
J'suis dans les maths mais j'm'en balance de trouver un plus un
J'ai trop joué avec leurs coeurs, maintenant mon ego a plus faim
Trouver la perle, dessiner des rides sur ses joues
À trop m'projeter dans l'avenir, j'perds mes poumons
J'ai l'présent qui s'essouffle
L'anxiété un amour qui me quittera jamais
Tellement ironique elle aime détourner les chemins qu'elle amène
Elle rend les questions sans réponses envahissantes
Elle prétend m'rassurer d'une vérité figée sur un terrain glissant
J'suis dans un monde qui voit l'histoire avec sa bien-pensance
Qui méprise la nature humaine et toute son importance
Qui pense manger éthique, des vertus sous plastiques
Qui m'parle de changement climatique
Mais qui m'invite ses soirées Netflix
Maintenant j'vais aux toilettes des femmes
Parce que j'suis non-binaire
J'déconstruis le genre et ses failles du coup ça m'sert aussi
Désolé moi j'suis un salaud, responsable de vos peurs
L'être humain c'est la seule race qui veut tout négocier
J'ai toujours respecté les gens mais j'crois qu'c'est pas l'débat
Notre propre condition substituée aux causes patriarcales
J'mets un voile sur des yeux, qui reflètent le désir
J'réduis au silence des questions sincères
Qui maintenant les déchirent car
J'ai tout en moi, le tonnerre gronde comme si j'habite le ciel
À rechercher des vérités profondes dans un canon scié
Parce que la violence qu'on constate est constante et on sait
Que s'écarter de la souffrance du monde détache de qui l'on est
J'ai vécu caché dans l'ivresse maintenant mon verre est vide
J'dévoile mes maux
Dans l'espoir de remplir une absence qui m'inonde
La couleur de mes sentiments est devenue si livide
Les plans-séquences sont définis
Mais désormais c'est la mort qui le monte
J'm'écarte de la gloire et ses vices
Sous les projecteurs du soleil
J'vois leurs regards comme des éclipses
Un souffle au coeur j'ai plus l'cardio pour parler des montants
J'ai que des messages en attente
Car plus l'envie de donner de mon temps
La fiction c'est mon thème, épié par l'seigneur des anneaux
J'sublime la guerre, une furie dans un char projeté face à ces peurs
J'vois d'la beauté dans la souffrance, bercé par l'silence des agneaux
L'esprit fantasme une autre vie et une vingt cinquième heure
Un texte de plus, un film en tête et tout devient léger
J'retourne dans mes montagnes ce soir pour quitter les enfers
Les larmes du soleil se transforment depuis qu'il a neigé
T'es parti ce douze février mais c'est moi qu'on enterre
Un texte de plus, un film en tête et tout devient léger
J'retourne dans mes montagnes ce soir pour quitter les enfers
Les larmes du soleil se transforment depuis qu'il a neigé
T'es parti ce douze février mais c'est moi qu'on enterre
J'ai trop tisé pour éloigner l'angoisse qui s'empare de ma tête
Personne veut savoir qui je suis derrière tous mes sourires
J'avais mon père mais le sens de cette vie
Maintenant n'est qu'un souvenir
J'parle de toi tous les jours et j'continue comment?
J'vois tout en noir, hier n'est plus à moi, demain tout commence
J'enseigne dans un corps en fusion car l'esprit s'évapore
Comment j'peux rencontrer l'amour?
Tous mes projets sont bloqués par mes peurs
J'suis dans les maths mais j'm'en balance de trouver un plus un
J'ai trop joué avec leurs coeurs, maintenant mon ego a plus faim
Trouver la perle, dessiner des rides sur ses joues
À trop m'projeter dans l'avenir, j'perds mes poumons
J'ai l'présent qui s'essouffle
L'anxiété un amour qui me quittera jamais
Tellement ironique elle aime détourner les chemins qu'elle amène
Elle rend les questions sans réponses envahissantes
Elle prétend m'rassurer d'une vérité figée sur un terrain glissant
J'suis dans un monde qui voit l'histoire avec sa bien-pensance
Qui méprise la nature humaine et toute son importance
Qui pense manger éthique, des vertus sous plastiques
Qui m'parle de changement climatique
Mais qui m'invite ses soirées Netflix
Maintenant j'vais aux toilettes des femmes
Parce que j'suis non-binaire
J'déconstruis le genre et ses failles du coup ça m'sert aussi
Désolé moi j'suis un salaud, responsable de vos peurs
L'être humain c'est la seule race qui veut tout négocier
J'ai toujours respecté les gens mais j'crois qu'c'est pas l'débat
Notre propre condition substituée aux causes patriarcales
J'mets un voile sur des yeux, qui reflètent le désir
J'réduis au silence des questions sincères
Qui maintenant les déchirent car
J'ai tout en moi, le tonnerre gronde comme si j'habite le ciel
À rechercher des vérités profondes dans un canon scié
Parce que la violence qu'on constate est constante et on sait
Que s'écarter de la souffrance du monde détache de qui l'on est
J'ai vécu caché dans l'ivresse maintenant mon verre est vide
J'dévoile mes maux
Dans l'espoir de remplir une absence qui m'inonde
La couleur de mes sentiments est devenue si livide
Les plans-séquences sont définis
Mais désormais c'est la mort qui le monte
J'm'écarte de la gloire et ses vices
Sous les projecteurs du soleil
J'vois leurs regards comme des éclipses
Un souffle au coeur j'ai plus l'cardio pour parler des montants
J'ai que des messages en attente
Car plus l'envie de donner de mon temps
La fiction c'est mon thème, épié par l'seigneur des anneaux
J'sublime la guerre, une furie dans un char projeté face à ces peurs
J'vois d'la beauté dans la souffrance, bercé par l'silence des agneaux
L'esprit fantasme une autre vie et une vingt cinquième heure
Un texte de plus, un film en tête et tout devient léger
J'retourne dans mes montagnes ce soir pour quitter les enfers
Les larmes du soleil se transforment depuis qu'il a neigé
T'es parti ce douze février mais c'est moi qu'on enterre
Un texte de plus, un film en tête et tout devient léger
J'retourne dans mes montagnes ce soir pour quitter les enfers
Les larmes du soleil se transforment depuis qu'il a neigé
T'es parti ce douze février mais c'est moi qu'on enterre
Credits
Writer(s): Julien Paquay, Luca Voisin
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