E' l'Italia che và
Un jour, un jour le diable vint sur Terre
Un jour le diable vint sur Terre
Pour surveiller ses intérêts
Il a tout vu le diable, il a tout entendu
Et après avoir tout vu
Et après avoir tout entendu
Il est retourné chez lui, là-bas
Et là-bas, on avait fait un grand banquet
A la fin du banquet, il s'est levé le diable
Il a prononcé un discours
Ã*a va il y a toujours un peu partout
Des feux illuminant la Terre ça va
Les hommes s'amusent comme des fous
Au dangereux jeu de la guerre ça va
Les trains déraillent avec fracas
Parce que des gars pleins d'idéal
Mettent des bombes sur les voies
Ã*a fait des morts originales
Ã*a fait des morts sans confession
Des confessions sans rémission ça va
Rien ne se vend mais tout s'achète
L'honneur et même la sainteté ça va
Les Ã^tats se muent en cachette
En anonymes sociétés ça va
Les grands s'arrachent les dollars
Venus du pays des enfants
L'Europe répète l'Avare
Dans un décor de mil neuf cent
Ã*a fait des morts d'inanition
Et l'inanition des nations ça va
Les hommes, ils en ont tant vu
Que leurs yeux sont devenus gris
Ã*a va et l'on ne chante même plus
Dans toutes les rues de Paris
Ã*a va on traite les braves de fous
Et les poètes de nigauds
Mais dans les journaux de partout
Tous les salauds ont leur photo
Ã*a fait mal aux honnêtes gens
Et rire les malhonnêtes gens
Ã*a va, ça va, ça va, ça va
Un jour le diable vint sur Terre
Pour surveiller ses intérêts
Il a tout vu le diable, il a tout entendu
Et après avoir tout vu
Et après avoir tout entendu
Il est retourné chez lui, là-bas
Et là-bas, on avait fait un grand banquet
A la fin du banquet, il s'est levé le diable
Il a prononcé un discours
Ã*a va il y a toujours un peu partout
Des feux illuminant la Terre ça va
Les hommes s'amusent comme des fous
Au dangereux jeu de la guerre ça va
Les trains déraillent avec fracas
Parce que des gars pleins d'idéal
Mettent des bombes sur les voies
Ã*a fait des morts originales
Ã*a fait des morts sans confession
Des confessions sans rémission ça va
Rien ne se vend mais tout s'achète
L'honneur et même la sainteté ça va
Les Ã^tats se muent en cachette
En anonymes sociétés ça va
Les grands s'arrachent les dollars
Venus du pays des enfants
L'Europe répète l'Avare
Dans un décor de mil neuf cent
Ã*a fait des morts d'inanition
Et l'inanition des nations ça va
Les hommes, ils en ont tant vu
Que leurs yeux sont devenus gris
Ã*a va et l'on ne chante même plus
Dans toutes les rues de Paris
Ã*a va on traite les braves de fous
Et les poètes de nigauds
Mais dans les journaux de partout
Tous les salauds ont leur photo
Ã*a fait mal aux honnêtes gens
Et rire les malhonnêtes gens
Ã*a va, ça va, ça va, ça va
Credits
Writer(s): Rosalino Cellamare
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