Fantaisie Lyrique
Je suis qu'un poète du bitume, qui oublies les rentes et qui se rétame à coups de biture
Ma plume m'évade, c'est pas pour me vendre, ni porter le Ralph, ni pour offrande
Mais pour te faire oublier ta vie dure
Le 7 débarque, du neuf t'y crois, je pose mon titre, c'est pour nos types qui croisent les doigts
Pour ceux qui croient que notre musique ira de zik jusqu'aux dio-ra
Même si pour ça faudra qu'on se tape, juste pour faire augmenter nos stats
Et rentrer dans les tempes de qui? et bien celles de tes renps et des énarques
Car eux nous calculent pas, n'aiment pas no sapes, ni ou mènent nos barques
Mais on allumera la mèche, tant qu'ils nous maintiendront en bas avec nos arcs
Ils veulent qu'on soit de mèche pour abolir notre art, niquer notre emblème et nos passe droits
Qui sont là comme nos seules armes
Puis défrayer la chronique, mais n'aurons pas le droit je ne suis pas Lalanne
Donc contente donc toi d'accepter ce doigt, qu'élève ma voix au lieu des armes
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
Avant que ma jauge de vie descende de façon suspecte
Avant que me passe l'envie de dire, que sans moi le rap a pu se perdre
Il s'est fourvoyé dans les méandres et les limbes de la médiocrité
Dans les foyers moi le scribe j'envoie mes larmes et mes mots cryptés
Que la mauvaise herbe pousse car c'est un fort fertilisant
Les bancs de jardin nos maisons comme issue les utilisant
Je résume ma fonction, pour l'heure comme dresseur de mots étranges
J'écris jusqu'à l'outrage, je suis l'oppresseur que les traitres rangent au rayon païen
On m'a dit que je porterais le maillot, du maillon faible
Mais en baillant tu resteras caillou et moi bâillon
Dis à tes potes les braillards, que j'ai sur la rue mon pignon
Dis leur que les 7 7 campagnards se battent pour leurs opinions
L'envie de créer, la magie des mots acerbes mais ça je l'ai
Je pinaille pas quand il s'agit d'endosser le rôle du messager
Je perds trop de temps et mon ombre veut me devancer
La réussite me fuit et je passe mon temps à le dénoncer
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
Ma plume m'évade, c'est pas pour me vendre, ni porter le Ralph, ni pour offrande
Mais pour te faire oublier ta vie dure
Le 7 débarque, du neuf t'y crois, je pose mon titre, c'est pour nos types qui croisent les doigts
Pour ceux qui croient que notre musique ira de zik jusqu'aux dio-ra
Même si pour ça faudra qu'on se tape, juste pour faire augmenter nos stats
Et rentrer dans les tempes de qui? et bien celles de tes renps et des énarques
Car eux nous calculent pas, n'aiment pas no sapes, ni ou mènent nos barques
Mais on allumera la mèche, tant qu'ils nous maintiendront en bas avec nos arcs
Ils veulent qu'on soit de mèche pour abolir notre art, niquer notre emblème et nos passe droits
Qui sont là comme nos seules armes
Puis défrayer la chronique, mais n'aurons pas le droit je ne suis pas Lalanne
Donc contente donc toi d'accepter ce doigt, qu'élève ma voix au lieu des armes
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
Avant que ma jauge de vie descende de façon suspecte
Avant que me passe l'envie de dire, que sans moi le rap a pu se perdre
Il s'est fourvoyé dans les méandres et les limbes de la médiocrité
Dans les foyers moi le scribe j'envoie mes larmes et mes mots cryptés
Que la mauvaise herbe pousse car c'est un fort fertilisant
Les bancs de jardin nos maisons comme issue les utilisant
Je résume ma fonction, pour l'heure comme dresseur de mots étranges
J'écris jusqu'à l'outrage, je suis l'oppresseur que les traitres rangent au rayon païen
On m'a dit que je porterais le maillot, du maillon faible
Mais en baillant tu resteras caillou et moi bâillon
Dis à tes potes les braillards, que j'ai sur la rue mon pignon
Dis leur que les 7 7 campagnards se battent pour leurs opinions
L'envie de créer, la magie des mots acerbes mais ça je l'ai
Je pinaille pas quand il s'agit d'endosser le rôle du messager
Je perds trop de temps et mon ombre veut me devancer
La réussite me fuit et je passe mon temps à le dénoncer
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
On fait pas de l'opéra excuse nous auprès de tes parents
Chaque jour on péra pour que le talent soit apparent
Voilà deux hommes aspirant à la gloire à ce qui parait
Du coucher à l'apéro, la fantaisie lyrique apparait
Credits
Writer(s): Jonathan Perez
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