Lettre à la mer
J'ai pas connu mon père, je connais pas sa voix
Peur d'assumer la vérité, je veux pas savoir
Je vois ma mère qui essaie de faire le mieux pour moi
Mais je reste un garçon perdu qui trouve pas sa voie
Et j'essaie
De faire du mieux que je peux
Différencier ce qu'il me faut et ce que je veux
Le bonheur je préfère le regarder dans tes yeux
Je laisse toutes ces pensées traîner ça me rend malheureux
Je fais des sourires pour cacher mes larmes
Donne des fleurs pour déposer les armes
J'ai des questions qui tournent en boucle dans ma tête
Je me demande si qui je suis c'est qui je dois être
J'en ai fumé plus d'un pour oublier
Askip pour être heureux faut des billets?
Mais que j'en ai ou pas c'est la même
Je me sens vivant que quand c'est la merde
On a préféré le vice à la vertu
J'avancerais avec qui je me suis perdu
Sauver tout le monde c'est trop dur
Tu me regardes dans les yeux mais pour autant me vois-tu?
Pour des histoires de merde on s'est battus
C'est du malheur des autres que l'on s'amuse
J'en connais qui font les forts et fiers
Mais qui prennent moins soins de leurs mères que de leurs voitures
Je suis passé de l'amour à la haine
Puis revenu de la haine à l'amour
Quand j'ai compris qu'elle était sous mes yeux
Mais que pendant des années j'étais aveugle et sourd
J'ai pas les mots quand on parle de sentiments
La vérité remonte quand je sens que tu mens
J'ai tourné en rond c'est pas carré
Je suis préparé pour la re-gué
J'en fais des nuits blanches...
J'en fais des nuits blanches...
J'en fais des nuits blanches...
J'ai tourné en rond c'est pas carré
Je suis préparé pour la re-gué
J'en fais des nuits blanches...
Combien de temps pour que je m'en rappelle
Des sourires pour cacher ma peine
Qui pleurera si je monte au ciel?
Quand on roule
Lumières de la ville
Me donne le rythme
J'ai du mal à dire ce que je ressens, c'est plus facile en rimes
L'impression d'être heureux, uniquement quand je suis ivre
Ça rend fou de dire que le zeillo c'est notre raison de vivre
Quand on roule
Lumières de la ville
Me donne le rythme
J'ai du mal à dire ce que je ressens, c'est plus facile en rimes
L'impression d'être heureux, uniquement quand je suis ivre
Ça rend de fou dire que le zeillo c'est notre raison de vivre
Peur d'assumer la vérité, je veux pas savoir
Je vois ma mère qui essaie de faire le mieux pour moi
Mais je reste un garçon perdu qui trouve pas sa voie
Et j'essaie
De faire du mieux que je peux
Différencier ce qu'il me faut et ce que je veux
Le bonheur je préfère le regarder dans tes yeux
Je laisse toutes ces pensées traîner ça me rend malheureux
Je fais des sourires pour cacher mes larmes
Donne des fleurs pour déposer les armes
J'ai des questions qui tournent en boucle dans ma tête
Je me demande si qui je suis c'est qui je dois être
J'en ai fumé plus d'un pour oublier
Askip pour être heureux faut des billets?
Mais que j'en ai ou pas c'est la même
Je me sens vivant que quand c'est la merde
On a préféré le vice à la vertu
J'avancerais avec qui je me suis perdu
Sauver tout le monde c'est trop dur
Tu me regardes dans les yeux mais pour autant me vois-tu?
Pour des histoires de merde on s'est battus
C'est du malheur des autres que l'on s'amuse
J'en connais qui font les forts et fiers
Mais qui prennent moins soins de leurs mères que de leurs voitures
Je suis passé de l'amour à la haine
Puis revenu de la haine à l'amour
Quand j'ai compris qu'elle était sous mes yeux
Mais que pendant des années j'étais aveugle et sourd
J'ai pas les mots quand on parle de sentiments
La vérité remonte quand je sens que tu mens
J'ai tourné en rond c'est pas carré
Je suis préparé pour la re-gué
J'en fais des nuits blanches...
J'en fais des nuits blanches...
J'en fais des nuits blanches...
J'ai tourné en rond c'est pas carré
Je suis préparé pour la re-gué
J'en fais des nuits blanches...
Combien de temps pour que je m'en rappelle
Des sourires pour cacher ma peine
Qui pleurera si je monte au ciel?
Quand on roule
Lumières de la ville
Me donne le rythme
J'ai du mal à dire ce que je ressens, c'est plus facile en rimes
L'impression d'être heureux, uniquement quand je suis ivre
Ça rend fou de dire que le zeillo c'est notre raison de vivre
Quand on roule
Lumières de la ville
Me donne le rythme
J'ai du mal à dire ce que je ressens, c'est plus facile en rimes
L'impression d'être heureux, uniquement quand je suis ivre
Ça rend de fou dire que le zeillo c'est notre raison de vivre
Credits
Writer(s): Yohan Dubray
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