La mort
C'est bien toi que j'ai vu, même si tu étais loin
À l'époque j'étais sain, plein de vertu mais perdu
Du temps il t'a fallu, tu m'as pris la main
Entre tes seins bruns
Tu m'as eu à l'usure, j'ai d'la corne sur la main
Certes j'me blesse moins, mais j'ressens plus rien
Quand je balaie le tissu ou que je vois une fissure
Je vois la mort sûre, je vois ma fin
Au début, qui aurait cru que dès le matin, des le matin
En grillant le pain, le tartinant de confiture
Des voix des plus pures me noiraient dans ton parfum
Je pense à tu Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tu Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tuer, la morsure
Tu es ma propre fin
Ma muse m'amuse mais ma muse l'effraie
It's manslaughter
T'es ma substance compensatrice
Tu me soignes de mon seum
Tu me fais souffrir t'es pleine de malice
Mais tu répares le bug dans ma matrice
Tu fais pause, tu m'aides à méditer
Tu es chaude, tu m'aides à respirer
Tu me frondes, tu m'irrites et tu me pose
Des colles, de quoi allaiter ma prose
Tu facilites l'oubli, tu décapites l'ennui
Tu remplis mes nuits, tu rougis mes blues
Tu élèves la bouse, tu bénis mes jours
Tu remplis mes jours, tu pourris mes jours
Tu facilites l'oubli, tu décapites l'ennui
Tu remplis mes nuits, tu rougis mes blues
Tu élèves la bouse, tu bénis mes jours
Tu remplis mes jours, tu pourris mes jours
À l'époque j'étais sain, plein de vertu mais perdu
Du temps il t'a fallu, tu m'as pris la main
Entre tes seins bruns
Tu m'as eu à l'usure, j'ai d'la corne sur la main
Certes j'me blesse moins, mais j'ressens plus rien
Quand je balaie le tissu ou que je vois une fissure
Je vois la mort sûre, je vois ma fin
Au début, qui aurait cru que dès le matin, des le matin
En grillant le pain, le tartinant de confiture
Des voix des plus pures me noiraient dans ton parfum
Je pense à tu Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tu Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tu Je pense à tu
Je pense à tuer, la morsure
Tu es ma propre fin
Ma muse m'amuse mais ma muse l'effraie
It's manslaughter
T'es ma substance compensatrice
Tu me soignes de mon seum
Tu me fais souffrir t'es pleine de malice
Mais tu répares le bug dans ma matrice
Tu fais pause, tu m'aides à méditer
Tu es chaude, tu m'aides à respirer
Tu me frondes, tu m'irrites et tu me pose
Des colles, de quoi allaiter ma prose
Tu facilites l'oubli, tu décapites l'ennui
Tu remplis mes nuits, tu rougis mes blues
Tu élèves la bouse, tu bénis mes jours
Tu remplis mes jours, tu pourris mes jours
Tu facilites l'oubli, tu décapites l'ennui
Tu remplis mes nuits, tu rougis mes blues
Tu élèves la bouse, tu bénis mes jours
Tu remplis mes jours, tu pourris mes jours
Credits
Writer(s): Ahmed Bennani
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