Le piano de mauvaise vie (Jeru)
T'as peut-être bien joué du Mozart, du Debussy
T'as peut-être fait des gammes du côté de Passy
Avant que l'on t'étrenne dans c'bar enfumé
Vieux piano, t'as pas eu d'veine, mais du sel, du jazz men, sans t'vexer
On t'a baptisé avec une bouteille de scotch
Sur ton acajou, on a fait des encoches
Et tes touches d'ivoire sont toutes roussies
Par la cendre des cigares, maintenant t'es vraiment notre ami
T'es chouette, tu flottes comme le vaisseau fantôme
T'es poète, puisque la nuit est ton royaume
Tu es pur, près de toi on redevient tout môme
Dans l'buffet, t'as plein d'azur, si
T'as peut-être bien joué du Mozart, du Debussy
T'as peut-être fait des gammes du côté de Passy
Avant que l'Bob te touche, sacré coup du sort
Et t'accroches à ce bar louche, mais l'matin quand, enfin, tu t'endors
Alors
Tu rêves que t'es dans une salle Pleyel en plein ciel
Tu donnes le concert éternel et les anges
Pour t'applaudir, battent des ailes
Mais soudain tout se mélange
Le paradis, l'enfer, les bastringues et les salons
Mozart joue du jazz, coiffé d'un chapeau melon
Enfin tu te réveilles, tu nous reconnais
Y a ton cœur qui s'ensoleille au milieu des bouteilles, d'la fumée
Tu t'étires et bravement, tu recommences ta journée
T'as peut-être fait des gammes du côté de Passy
Avant que l'on t'étrenne dans c'bar enfumé
Vieux piano, t'as pas eu d'veine, mais du sel, du jazz men, sans t'vexer
On t'a baptisé avec une bouteille de scotch
Sur ton acajou, on a fait des encoches
Et tes touches d'ivoire sont toutes roussies
Par la cendre des cigares, maintenant t'es vraiment notre ami
T'es chouette, tu flottes comme le vaisseau fantôme
T'es poète, puisque la nuit est ton royaume
Tu es pur, près de toi on redevient tout môme
Dans l'buffet, t'as plein d'azur, si
T'as peut-être bien joué du Mozart, du Debussy
T'as peut-être fait des gammes du côté de Passy
Avant que l'Bob te touche, sacré coup du sort
Et t'accroches à ce bar louche, mais l'matin quand, enfin, tu t'endors
Alors
Tu rêves que t'es dans une salle Pleyel en plein ciel
Tu donnes le concert éternel et les anges
Pour t'applaudir, battent des ailes
Mais soudain tout se mélange
Le paradis, l'enfer, les bastringues et les salons
Mozart joue du jazz, coiffé d'un chapeau melon
Enfin tu te réveilles, tu nous reconnais
Y a ton cœur qui s'ensoleille au milieu des bouteilles, d'la fumée
Tu t'étires et bravement, tu recommences ta journée
Credits
Writer(s): Gerry Mulligan
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