Un vilain rêve
Un vilain rêve,quoiqu'il en soit
Quoiqu'il en coûte
Je prends toujours deux pilules avant mon sommeil
Ne me jugez pas
J'ai mal dormi depuis que je suis rentré dans l'arène
De mon premier cri jusqu'à mon linceul
On partage nos cauchemars
Nos périples,des actions,des pertes de mémoire
Des déboires,et ce soir, j'ai soif,j'ai besoin d'y voir noir
La première règle,la règle d'entrée
Ferme ta gueule si tu veux te faire accepter
La vie n'est qu'une partie de "Jumanji"
J'ai mon pion et j'avance,sur le damier, je suis collé
J'ai besoin de finir la partie
Mais personne n'ose plus lancer les dés
Ils disent qu'ils ont peur
Moi je n'y vois que des brebis égarées,égarées dans le silence
Dans la tristesse,dans l'ivresse, j'y passe mes vacances
Alors on sourit,vive la vie,dans le taxi jaune et rouge
C'est "oui oui" pour ses insomnies
Mes draps sont froids,collés à ma peau
Je tire dès mon levé un putain de sparadrap
Des plaies des cicatrices
Des blessures,des fêlures
Des ruptures,mon âme en pleine usure,
De constater des forêts,des animaux,
Des vaccins,ma maladie,j'émerge
Je ne suis qu'un grand brûlé
Pas de ta faute si les hommes s'entretuent
S'assassinent,ma médecine,une bière une clope
Une pin-up, de la dope
Un accident, c'est la vie "petit",papa est parti
Maman regarde trois fois minuit sous son lit
Les courageux, les suicidés
Des masques, des gueules de glaçe
Faut se battre pour se faire à l'idée
De faire un semblant d'être accepté,c'est la jungle
Qu'un 5 ou un 8 te délivre
Ma couverture,des pages rayées,raturés,râté
Ma vie,de la poussière sur mon livre
Je suis toqué,50 fois, je répète les mêmes paroles
En boucle dans ma tête,je n'ai qu'une Face A,je n'ai pas de plan B
Je suis en pleine inspiration,laissez moi dans ma prison
Trop de fierté,accablé,maman,je pleure en hiver comme en été
Et ça joue les durs, les caïds,les lascars,dans des cités
Mais c'est l'égo, le pouvoir,combien de fois,
J'ai vu des clebs aboyers
La solitude,ça ne touche pas que les cabines du 3 ème
Toi qui m'écoutes, je sais très bien que tu n'attends
Que le bruit des sirènes
Alors on essaie de construire,de bâtir
D'arpenter, de charpenter
Son château, son vaisseau
Rien à faire ça se casse la gueule
Alors on cherche,le mode d'emploi
Dans des boites, dans des trous
C'est la baise "petit",c'est bon sur le coup
Mais ca ne te fera pas avancer
Autant courir après une balle qui ne retombe jamais
Tu t'éloignes de ton maître
Le karma,blanc, c'est blanc,noir c'est noir,
Je suis gris dans le miroir
Qui est mieux qu'un autre
Ont essai de percer,de toucher,du papier,pour ne plus vivre cloîtrer
Dans une routine déjà dessiner
C'est le destin, des va-et-vient,le chemin est tracé
L'objectif tu le verras qu'à tes yeux fermés
Prolongé,j'incinère mes cauchemars et mes troubles
Dans une fontaine de jouvence
Je crois que je commence,à perdre patience
On attend tous quelque chose qui nous tombe
Sur le coin de la gueule,mais je crois
Que ce n'est que le fruit du hasard
Autant trouver ta carte dans ton propre tour de magie
Ce sera toujours le 7 de carreau
Des contrariétés,des mises en place,
Ce système,n'est bon qu'à être dégueulé
Quoiqu'il en coûte
Je prends toujours deux pilules avant mon sommeil
Ne me jugez pas
J'ai mal dormi depuis que je suis rentré dans l'arène
De mon premier cri jusqu'à mon linceul
On partage nos cauchemars
Nos périples,des actions,des pertes de mémoire
Des déboires,et ce soir, j'ai soif,j'ai besoin d'y voir noir
La première règle,la règle d'entrée
Ferme ta gueule si tu veux te faire accepter
La vie n'est qu'une partie de "Jumanji"
J'ai mon pion et j'avance,sur le damier, je suis collé
J'ai besoin de finir la partie
Mais personne n'ose plus lancer les dés
Ils disent qu'ils ont peur
Moi je n'y vois que des brebis égarées,égarées dans le silence
Dans la tristesse,dans l'ivresse, j'y passe mes vacances
Alors on sourit,vive la vie,dans le taxi jaune et rouge
C'est "oui oui" pour ses insomnies
Mes draps sont froids,collés à ma peau
Je tire dès mon levé un putain de sparadrap
Des plaies des cicatrices
Des blessures,des fêlures
Des ruptures,mon âme en pleine usure,
De constater des forêts,des animaux,
Des vaccins,ma maladie,j'émerge
Je ne suis qu'un grand brûlé
Pas de ta faute si les hommes s'entretuent
S'assassinent,ma médecine,une bière une clope
Une pin-up, de la dope
Un accident, c'est la vie "petit",papa est parti
Maman regarde trois fois minuit sous son lit
Les courageux, les suicidés
Des masques, des gueules de glaçe
Faut se battre pour se faire à l'idée
De faire un semblant d'être accepté,c'est la jungle
Qu'un 5 ou un 8 te délivre
Ma couverture,des pages rayées,raturés,râté
Ma vie,de la poussière sur mon livre
Je suis toqué,50 fois, je répète les mêmes paroles
En boucle dans ma tête,je n'ai qu'une Face A,je n'ai pas de plan B
Je suis en pleine inspiration,laissez moi dans ma prison
Trop de fierté,accablé,maman,je pleure en hiver comme en été
Et ça joue les durs, les caïds,les lascars,dans des cités
Mais c'est l'égo, le pouvoir,combien de fois,
J'ai vu des clebs aboyers
La solitude,ça ne touche pas que les cabines du 3 ème
Toi qui m'écoutes, je sais très bien que tu n'attends
Que le bruit des sirènes
Alors on essaie de construire,de bâtir
D'arpenter, de charpenter
Son château, son vaisseau
Rien à faire ça se casse la gueule
Alors on cherche,le mode d'emploi
Dans des boites, dans des trous
C'est la baise "petit",c'est bon sur le coup
Mais ca ne te fera pas avancer
Autant courir après une balle qui ne retombe jamais
Tu t'éloignes de ton maître
Le karma,blanc, c'est blanc,noir c'est noir,
Je suis gris dans le miroir
Qui est mieux qu'un autre
Ont essai de percer,de toucher,du papier,pour ne plus vivre cloîtrer
Dans une routine déjà dessiner
C'est le destin, des va-et-vient,le chemin est tracé
L'objectif tu le verras qu'à tes yeux fermés
Prolongé,j'incinère mes cauchemars et mes troubles
Dans une fontaine de jouvence
Je crois que je commence,à perdre patience
On attend tous quelque chose qui nous tombe
Sur le coin de la gueule,mais je crois
Que ce n'est que le fruit du hasard
Autant trouver ta carte dans ton propre tour de magie
Ce sera toujours le 7 de carreau
Des contrariétés,des mises en place,
Ce système,n'est bon qu'à être dégueulé
Credits
Writer(s): Yves Gendron, Yves Eleutheria
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