Le gouffre
Dans un grand mirage tout a commencé
Sombraient les épaves dans l'immensité
Le ciel était grave sous les tranchées de fumée
Y'avait ni désert, y'avait ni volcan
Le souffle de l'air brûlait tout pourtant
L'océan, la mer, noyés par l'avidité
Après le vent, les arbres sont tombés
Des tiges de marbres sur la terre brisée
Ne regardez pas vers les erreurs du passé
Le soleil en miettes à mi rapiécé
S'offrait à la lune pour s'effondrer
C'est la fin d'un temps, pas la peine de pleurer
Devant je cours
En écoutant les mauvais jours
Crier derrière comme des vautours
Mais tout va changer
Je perd le souffle
En me tenant au bord du gouffre
Je tiens ta main plus fort que tout
Je dois plonger
Ne laissez pas le bonheur s'effacer
Dans les yeux de ceux qui peine à regarder
Derrière l'amour se cache la vérité
J'ai mal à mon cœur
J'ai mal à ma peau
J'ai mal à mes rêves à moi
J'ai du mal à voir
Le bout de la chaine
Qui trace le chemin ici-bas
Faut-il tant aimer se perdre jusqu'à comprendre
Que derrière chaque larme qui perle on recommence
À chaque instant que le vent se lève il faut entendre sa voix
Sombraient les épaves dans l'immensité
Le ciel était grave sous les tranchées de fumée
Y'avait ni désert, y'avait ni volcan
Le souffle de l'air brûlait tout pourtant
L'océan, la mer, noyés par l'avidité
Après le vent, les arbres sont tombés
Des tiges de marbres sur la terre brisée
Ne regardez pas vers les erreurs du passé
Le soleil en miettes à mi rapiécé
S'offrait à la lune pour s'effondrer
C'est la fin d'un temps, pas la peine de pleurer
Devant je cours
En écoutant les mauvais jours
Crier derrière comme des vautours
Mais tout va changer
Je perd le souffle
En me tenant au bord du gouffre
Je tiens ta main plus fort que tout
Je dois plonger
Ne laissez pas le bonheur s'effacer
Dans les yeux de ceux qui peine à regarder
Derrière l'amour se cache la vérité
J'ai mal à mon cœur
J'ai mal à ma peau
J'ai mal à mes rêves à moi
J'ai du mal à voir
Le bout de la chaine
Qui trace le chemin ici-bas
Faut-il tant aimer se perdre jusqu'à comprendre
Que derrière chaque larme qui perle on recommence
À chaque instant que le vent se lève il faut entendre sa voix
Credits
Writer(s): Fortin Raphael, Fortin Mickael, Schuller Franz G
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